Chaque année, l’industrie alimentaire se débarrasse de millions de tonnes de sous-produits de légumineuses. A l’avenir ces résidus de pois, fèves et autre lentilles, pourraient connaître une seconde vie grâce au bioplastique.
Valoriser les restes de légumineuses jugés impropres à la vente, c’est le but du projet de recherche européen Leguval. A Parme, en Italie, des scientifiques du SSICA ont mis au point une méthode pour transformer ces végétaux en bioplastique.
Valoriser les restes de légumineuses
Après lavage, les petits pois sont broyés, puis mélangés à une solution dite “tampon”. “Les protéines sont solubilisées, ensuite il y a une phase de séparation entre la fraction liquide, et la fraction solide, fibreuse”, explique Eleonora Umiltà, chimiste. “L’extrait protéique final peut contenir quelques sels résiduels mais le pourcentage de protéines est très élevé, autour de 80 %”, précise-t-elle.
Les fibres serviront à fabriquer des matériaux composites. Les protéines seront l’ingrédient de base du bioplastique. Responsable de la direction technique du projet, Simona Bronco, de l’IPCF souligne l’importance de la pureté des protéines, “cela permet d’améliorer les performances et les caractéristiques du bioplastique”.
Les protéines, ingrédient de base du bioplastique
https://jack35.wordpress.com/2017/04/18/bioplastique-un-pot-de-fleur-a-base-de-petits-pois-video/
Je trouve ça une très bonne chose
Valoriser les restes de légumineuses jugés impropres à la vente, c’est le but du projet de recherche européen Leguval. A Parme, en Italie, des scientifiques du SSICA ont mis au point une méthode pour transformer ces végétaux en bioplastique.
Valoriser les restes de légumineuses
Après lavage, les petits pois sont broyés, puis mélangés à une solution dite “tampon”. “Les protéines sont solubilisées, ensuite il y a une phase de séparation entre la fraction liquide, et la fraction solide, fibreuse”, explique Eleonora Umiltà, chimiste. “L’extrait protéique final peut contenir quelques sels résiduels mais le pourcentage de protéines est très élevé, autour de 80 %”, précise-t-elle.
Les fibres serviront à fabriquer des matériaux composites. Les protéines seront l’ingrédient de base du bioplastique. Responsable de la direction technique du projet, Simona Bronco, de l’IPCF souligne l’importance de la pureté des protéines, “cela permet d’améliorer les performances et les caractéristiques du bioplastique”.
Les protéines, ingrédient de base du bioplastique
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