C'est souvent après le décès d'un(e) proche que l'on se rend compte que l'on ne le (la) connaissait pas si bien que cela. Les quasi certitudes se sont muées en doutes, en questionnements. Hélas nous ne nous consacrons pas toujours à la découverte de l'autre de son vivant, ce qui est dommage. Nous sommes soit dans la projection, dans la vision déformée de l'autre, dans le jugement, etc.
On ne connaît jamais l'autre, le proche, l'ami, le conjoint... Il faut déjà se connaître soi-même, et cette tâche est considérable. Ce que je voulais exprimer dans ce sujet c'est ce constat, le fait que nous ne prenions pas plus de temps, je trouve, pour se poser les bonnes questions au sujet de l'autre, avant qu'il (elle) ne soit plus là.
On ne connaît jamais l'autre, le proche, l'ami, le conjoint... Il faut déjà se connaître soi-même, et cette tâche est considérable. Ce que je voulais exprimer dans ce sujet c'est ce constat, le fait que nous ne prenions pas plus de temps, je trouve, pour se poser les bonnes questions au sujet de l'autre, avant qu'il (elle) ne soit plus là.