Les résultats de cette étude ADN qui ont été publiés dans la revue Scientific Report sont stupéfiants. En effet, l'halotype de cet enfant révèle son appartenance à un sous-groupe paléo-indien. Halotype que l'on retrouve encore chez de très rares personnes. Les chercheurs soutiennent qu'il s'agit là de la première analyse génétique mitochondrial ( lignée maternelle). Ils souhaitent également se livrer à la première analyse du microbiome d'une momie et des germes infectieux. Ces analyses pourraient bien nous révéler d'incroyables choses sur l'évolution de notre espèce. Affaire à suivre...
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