Accueil
Publications
Comme dirait l'autre : c'est pas faux ! 
C'est aussi grandement lié à la qualité du travail en question, l'intérêt qu'il suscite auprès de la personne qui le pratique. Prenez le cas d'une personne qui peut allier sa passion à la dimension "nécessaire" de l'emploi, celle-ci ne va pas forcément remettre en question cette nécessité, évidemment. En revanche quand l'intérêt personnel n'est pas présent, le travail se mu en une ingrate besogne qui n'offre aucun sens.
Après on peut considérer que quel que soit le travail, une philosophie s'impose : la négation de l'obligation d'avoir un emploi pour vivre. Une mutation globale de la société s'impose alors, la fameuse société de loisirs qui se penserait autrement, par exemple en octroyant un temps indéterminé pour les activités personnelles et un caractère optionnel pour l'emploi pro.
Alors, pourquoi existe t'il des personnes qui pratiquent le bénévolat ? Pourtant cette activité n'est pas rémunérée... La clef c'est le sens, le sens que l'on octroie à son activité, pro ou pas. Un médecin doit sauver autrui quel que soit le moment ! Y compris en dehors de ses heures de rémunération. Le problème c'est bien cette nécessité fonctionnelle que le système a mis en place, il existe des personnes qui n'ont plus ne serait-ce que 30 mn pour penser à autre chose que leur rôle pro ! Le burn out c'est aussi l'oubli de l'intérêt qu'il y a à exercer une activité qui .ne soit pas qu'alimentaire.
C'est aussi grandement lié à la qualité du travail en question, l'intérêt qu'il suscite auprès de la personne qui le pratique. Prenez le cas d'une personne qui peut allier sa passion à la dimension "nécessaire" de l'emploi, celle-ci ne va pas forcément remettre en question cette nécessité, évidemment. En revanche quand l'intérêt personnel n'est pas présent, le travail se mu en une ingrate besogne qui n'offre aucun sens.
Après on peut considérer que quel que soit le travail, une philosophie s'impose : la négation de l'obligation d'avoir un emploi pour vivre. Une mutation globale de la société s'impose alors, la fameuse société de loisirs qui se penserait autrement, par exemple en octroyant un temps indéterminé pour les activités personnelles et un caractère optionnel pour l'emploi pro.
Alors, pourquoi existe t'il des personnes qui pratiquent le bénévolat ? Pourtant cette activité n'est pas rémunérée... La clef c'est le sens, le sens que l'on octroie à son activité, pro ou pas. Un médecin doit sauver autrui quel que soit le moment ! Y compris en dehors de ses heures de rémunération. Le problème c'est bien cette nécessité fonctionnelle que le système a mis en place, il existe des personnes qui n'ont plus ne serait-ce que 30 mn pour penser à autre chose que leur rôle pro ! Le burn out c'est aussi l'oubli de l'intérêt qu'il y a à exercer une activité qui .ne soit pas qu'alimentaire.
