Merci mariemadelaine.
L'intelligence émotionnelle est presque devenue un pléonasme, parce qu'il semble difficile de concevoir une intelligence relationnelle, sociale, sans émotion. Les émotions créent du sens là où il n'y a qu'informations cognitives. Prenez le cas de la compassion, certes il s'agit plus d'un sentiment que d'une émotion, mais ce sentiment peut véhiculer des émotions associées, qui rendent plus efficace l'envie d'aider, par exemple.
L'idée c'est que l'intelligence sans émotion serait comme un système certes efficace sur le plan théorique mais totalement déconnecté des véritables besoins. Il est certain que nous ne serions jamais parvenu à un tel degré d'évolution si notre intelligence n'avait pas bénéficié des atouts émotionnels. Pour le meilleur, et, je vous le concède, pour le pire !
Mais l'important c'est que les émotions facilitent les processus de prise de conscience profonde. C'est ainsi que je le vois.
L'intelligence émotionnelle est presque devenue un pléonasme, parce qu'il semble difficile de concevoir une intelligence relationnelle, sociale, sans émotion. Les émotions créent du sens là où il n'y a qu'informations cognitives. Prenez le cas de la compassion, certes il s'agit plus d'un sentiment que d'une émotion, mais ce sentiment peut véhiculer des émotions associées, qui rendent plus efficace l'envie d'aider, par exemple.
L'idée c'est que l'intelligence sans émotion serait comme un système certes efficace sur le plan théorique mais totalement déconnecté des véritables besoins. Il est certain que nous ne serions jamais parvenu à un tel degré d'évolution si notre intelligence n'avait pas bénéficié des atouts émotionnels. Pour le meilleur, et, je vous le concède, pour le pire !
Mais l'important c'est que les émotions facilitent les processus de prise de conscience profonde. C'est ainsi que je le vois.