À vos marques, prêts... achetez. Contrairement aux centres commerciaux comme les Galeries Lafayette, dont la réouverture à Paris a été interdite par les autorités, les boutiques de vêtements ont, elles, remonté leur rideau de fer ce lundi 11 mai, date du premier jour du déconfinement.
Dans la capitale, mais aussi à Bordeaux et Dijon, des dizaines de femmes et d’hommes n’ont pas perdu une minute. À 9 heures pétantes, ils attendaient patiemment devant les magasins de fringues, comme en témoignent les files d’attente observées dans certaines villes de France à l’entrée de Zara
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Le confinement a exacerbé ce besoin, comme nous l’a précédemment expliqué la psychothérapeute Catherine Bronnimann au cours d’un article sur nos commandes en ligne passées pendant la quarantaine. Anciennement professeure de design, elle est l’autrice d’un livre qui tissent les liens entre psychanalyse et la mode intitulé La robe de psyché.
À la fin de cette période, on allait vouloir être beaucoup “plus présent dans tous les aspects, reconnaissables et identifiables”, prédisait-elle. Outre le réconfort qu’on trouve à s’acheter de nouveaux habits, la pratique dépasserait le simple plaisir. “Changer de peau est un besoin à l’heure actuelle”, soutient-elle.
Bon j'avoue ne pas avoir attendu la fin du confinement, pour aller m'acheter des vêtements. Le secteur vestimentaire n'était pas fermé, durant le confinement.
Par contre, j'ai hâte de pouvoir aller à la galerie marchande ...
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Comprenez vous cet engouement pour l'achat de nouveaux vêtements, après le confinement ?