Il était quasiment 23h30, vendredi soir, quand le temps s’est suspendu dans la cour d’assises de la Marne. Au terme de cinq jours d’un procès éprouvant, la présidente, Hélène Langlois, a prononcé des peines plus faibles que celles requises à l’encontre de Loïc Vantal et Caroline Létoile, jugés pour la mort atroce du petit Tony, 3 ans, en novembre 2016 à Reims. Alors que les motivations de la cour ne sont pas encore connues, 20 Minutes tente de décrypter ce verdict…
Pourquoi Loïc Vantal écope-t-il d’une peine de 20 ans de réclusion criminelle ?
Juste avant le verdict, dans la salle des pas perdus du tribunal de Reims, David Scribe, son avocat, confiait que Loïc Vantal s’attendait évidemment « à prendre 30 ans de réclusion » et ne pensait pas faire appel de la décision. « J’ai eu un comportement inacceptable. Je mérite d’être condamné », avait-il indiqué à la barre au moment de lâcher ses derniers mots. Comme si tout était déjà plié… Mais non. Une heure après, la cour le condamnait finalement à 20 ans de réclusion assortie d’une période de sûreté des deux-tiers et d’une obligation de soins. « Je pense que les jurés ont tenu compte de l’humanité de mon client », a réagi David Scribe. A la barre, vendredi après-midi, celui-ci avait tenté de convaincre les jurés que Loïc Vantal, 28 ans aujourd’hui, avait commencé à « travailler » sur lui-même et avait « compris » son acte
Pourquoi Loïc Vantal écope-t-il d’une peine de 20 ans de réclusion criminelle ?
Juste avant le verdict, dans la salle des pas perdus du tribunal de Reims, David Scribe, son avocat, confiait que Loïc Vantal s’attendait évidemment « à prendre 30 ans de réclusion » et ne pensait pas faire appel de la décision. « J’ai eu un comportement inacceptable. Je mérite d’être condamné », avait-il indiqué à la barre au moment de lâcher ses derniers mots. Comme si tout était déjà plié… Mais non. Une heure après, la cour le condamnait finalement à 20 ans de réclusion assortie d’une période de sûreté des deux-tiers et d’une obligation de soins. « Je pense que les jurés ont tenu compte de l’humanité de mon client », a réagi David Scribe. A la barre, vendredi après-midi, celui-ci avait tenté de convaincre les jurés que Loïc Vantal, 28 ans aujourd’hui, avait commencé à « travailler » sur lui-même et avait « compris » son acte
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