Si Joachim du Bellay vantait déjà la fameuse douceur angevine au XVIe siècle, la capitale d'Anjou mérite plus que jamais que l'on mette le cap vers l'Ouest.
Nichée au cœur d'un paysage classé au patrimoine mondial de l'UNESCO, entre les prairies naturelles des basses vallées angevines et en bordure du Maine, la ville d'Angers rayonne par la richesse de son histoire, son architecture médiévale et sa gastronomie — qui va bien au-delà de l'art d'accommoder les poissons d'eau douce ! Sans oublier son vignoble, parmi les plus enthousiasmants de l'hexagone. À 1h30 de Paris en TGV, nul doute que la destination commence à faire des émules. Il suffit de s'éloigner de la gare et de rejoindre le centre en prenant un peu de hauteur pour tomber sous le charme : partout, de la verdure, des cheminées de briques sur le fond bleu des toits, des façades qui mêlent la tendresse du tuffeau à la dureté du schiste…
On commence par les abords de la bien nommée Place du ralliement afin de découvrir la ville en suivant peu ou prou le fil bleu tracé au sol, soit trois kilomètres de balade au gré de ses plus beaux monuments. Difficile de ne pas être touché par la grâce des vitraux roses de la Cathédrale Saint-Maurice, ni d'être impressionné par les sculptures d'hommes illustres de la Galerie David d'Angers, ancienne abbaye au toit entièrement recouvert de parois vitrées — inondée d'une lumière quasi irréelle à toute heure de la journée. En remontant vers la place Saint-Eloi, on s'arrête au Musée des Beaux-Arts, fleuron de l'architecture civile gothique. Nul besoin d'y passer sa journée : mieux vaudra filer à l'angevine dans les ruelles alentour pour admirer les maisons à colombages du quartier, et aller goûter au dynamisme de la scène culinaire locale Chez Rémi, Autour d'un Cep ou encore Aux Jeunes Pousses .
On commence par les abords de la bien nommée Place du ralliement afin de découvrir la ville en suivant peu ou prou le fil bleu tracé au sol, soit trois kilomètres de balade au gré de ses plus beaux monuments. Difficile de ne pas être touché par la grâce des vitraux roses de la Cathédrale Saint-Maurice, ni d'être impressionné par les sculptures d'hommes illustres de la Galerie David d'Angers, ancienne abbaye au toit entièrement recouvert de parois vitrées — inondée d'une lumière quasi irréelle à toute heure de la journée. En remontant vers la place Saint-Eloi, on s'arrête au Musée des Beaux-Arts, fleuron de l'architecture civile gothique. Nul besoin d'y passer sa journée : mieux vaudra filer à l'angevine dans les ruelles alentour pour admirer les maisons à colombages du quartier, et aller goûter au dynamisme de la scène culinaire locale Chez Rémi, Autour d'un Cep ou encore Aux Jeunes Pousses .
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