Une pratique reconnue par l’OMS
Cette thérapie occidentale a été développée et codifiée dans les années 50 par le Dr Paul Nogier. Celui-ci a établi une cartographie du pavillon de l’oreille, une zone innervée de nerfs cervicaux, sur laquelle il a répertorié environ cent soixante « points réflexes » correspondant à différentes parties du corps. L’auriculothérapie s’appuie sur la stimulation de ces points auriculaires pour soulager les troubles fonctionnels (n’ayant pas d’origine organique) et, surtout, les douleurs. C’est une réelle pratique médicale, reconnue par l’OMS, à la différence de la réflexologie auriculaire (voir encadré).
Le principe ? L’oreille ressemblerait à la forme d’un fœtus à l’envers, le lobe correspondant à la tête, la conque aux viscères, l’anthélix aux membres, etc. « Le pavillon de l’oreille est relié aux centres du cerveau, un peu comme le clavier d’un ordinateur est connecté à un réseau informatique. Le fait d’appuyer sur une touche agit sur la programmation du système d’autorégulation de l’organisme », explique de façon imagée Nadia Volf, médecin et auriculothérapeute, auteure de la Symphonie des méridiens du corps (Guy Trédaniel). En cas de douleur, cette technique active le mécanisme nerveux inhibiteur de la souffrance dans la zone correspondante.
Elle soulage les douleurs les plus résistantes
Cette médecine non conventionnelle peut soulager les douleurs aiguës ou chroniques (lombalgies, céphalées, arthrose…), mais aussi neuropathiques (sciatique, névralgies faciale et dentaire, séquelles d’AVC…) et postopératoires, telles que la sensation de peau cartonnée, de brûlure ou de décharge électrique. « L’auriculothérapie se révèle particulièrement puissante contre les douleurs les plus résistantes, car elle stimule les circuits nerveux endommagés et favorise une récupération rapide », indique Sabine Brulé, médecin de la douleur.
« Des réponses rapides, parfois même immédiates et durables… »
Cette thérapie occidentale a été développée et codifiée dans les années 50 par le Dr Paul Nogier. Celui-ci a établi une cartographie du pavillon de l’oreille, une zone innervée de nerfs cervicaux, sur laquelle il a répertorié environ cent soixante « points réflexes » correspondant à différentes parties du corps. L’auriculothérapie s’appuie sur la stimulation de ces points auriculaires pour soulager les troubles fonctionnels (n’ayant pas d’origine organique) et, surtout, les douleurs. C’est une réelle pratique médicale, reconnue par l’OMS, à la différence de la réflexologie auriculaire (voir encadré).
Le principe ? L’oreille ressemblerait à la forme d’un fœtus à l’envers, le lobe correspondant à la tête, la conque aux viscères, l’anthélix aux membres, etc. « Le pavillon de l’oreille est relié aux centres du cerveau, un peu comme le clavier d’un ordinateur est connecté à un réseau informatique. Le fait d’appuyer sur une touche agit sur la programmation du système d’autorégulation de l’organisme », explique de façon imagée Nadia Volf, médecin et auriculothérapeute, auteure de la Symphonie des méridiens du corps (Guy Trédaniel). En cas de douleur, cette technique active le mécanisme nerveux inhibiteur de la souffrance dans la zone correspondante.
Elle soulage les douleurs les plus résistantes
Cette médecine non conventionnelle peut soulager les douleurs aiguës ou chroniques (lombalgies, céphalées, arthrose…), mais aussi neuropathiques (sciatique, névralgies faciale et dentaire, séquelles d’AVC…) et postopératoires, telles que la sensation de peau cartonnée, de brûlure ou de décharge électrique. « L’auriculothérapie se révèle particulièrement puissante contre les douleurs les plus résistantes, car elle stimule les circuits nerveux endommagés et favorise une récupération rapide », indique Sabine Brulé, médecin de la douleur.
« Des réponses rapides, parfois même immédiates et durables… »
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