S'ils sont gratuits pour les enfants, les enseignants, eux, doivent payer le reste à charge de leurs tests salivaires déployés à l'école pour lutter contre l'épidémie de coronavirus, révèlent nos confrères de Franceinfo, ce jeudi.
Les tests salivaires, déployés dans les écoles, sont totalement gratuits pour les enfants. Les enseignants, qui peuvent eux aussi se faire tester, doivent débourser un euro, soit le reste à charge appliqué par l'Assurance maladie.
«La goutte d'eau qui faisait déborder le vase»
«Pour les personnels, une participation forfaitaire d'un euro sera appliquée automatiquement par la CPAM, par prélèvement sur le prochain acte remboursé», explique la note d'information relayée par Franceinfo. Cette somme sera prélevée sur leur prochain remboursement des frais médicaux. Une participation est «déplacée et malvenue», estiment les principaux syndicats d'enseignants.
«On a trouvé que c'était un peu la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Si on se fait tester en ville, on ne paye rien, mais sur le lieu de travail, il faut débourser un euro», a expliqué une enseignante à nos confrères. Le ministère de l'Education nationale assure qu'il ne s'agit pas de sa décision, mais du code de la Sécurité sociale. Le test salivaire, assimilé à un acte de biologie médicale, est soumis au prélèvement d'un euro pour tous les assurés de plus de 18 ans. Les élèves majeurs sont donc également concernés par ce prélèvement.
Les tests salivaires, déployés dans les écoles, sont totalement gratuits pour les enfants. Les enseignants, qui peuvent eux aussi se faire tester, doivent débourser un euro, soit le reste à charge appliqué par l'Assurance maladie.
«La goutte d'eau qui faisait déborder le vase»
«Pour les personnels, une participation forfaitaire d'un euro sera appliquée automatiquement par la CPAM, par prélèvement sur le prochain acte remboursé», explique la note d'information relayée par Franceinfo. Cette somme sera prélevée sur leur prochain remboursement des frais médicaux. Une participation est «déplacée et malvenue», estiment les principaux syndicats d'enseignants.
«On a trouvé que c'était un peu la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Si on se fait tester en ville, on ne paye rien, mais sur le lieu de travail, il faut débourser un euro», a expliqué une enseignante à nos confrères. Le ministère de l'Education nationale assure qu'il ne s'agit pas de sa décision, mais du code de la Sécurité sociale. Le test salivaire, assimilé à un acte de biologie médicale, est soumis au prélèvement d'un euro pour tous les assurés de plus de 18 ans. Les élèves majeurs sont donc également concernés par ce prélèvement.
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