par Elia Lun 5 Avr - 11:28
Très intéressant !
si les remarques sont justifiées je réfléchis et essaie d'évoluer
si les remarques sont désagréables et injustifiées je pense : l'autre parle de lui ( d'elle )
vu sous cet angle on se rend compte que bcp de critiques ou remarques sont dues à un mal être ( souvent jalousie ) donc je ne me vexe pas et essaie de comprendre pourquoi l'autre dit des choses méchantes et ressentir pluss de la pitié ou au mieux de la bienveillance
maintenant faut pas non plus tendre l'autre joue .. si cela se répète et devient une attitude désagréable parce que l'autre croit que vous encaisser sans rien dire
je coupe les ponts après avoir donné sa chance à l'autre durant bcp de temps
mais quand je coupe les ponts c'est définitif ..
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J'ai eu cette réponse c'est assez vrai
Vous ne supportez pas d’être pris en défaut.
Vous avez tendance à prendre les conseils pour des critiques et les critiques pour des agressions.
Rien d’étonnant à ce que vos rapports avec les autres, dans le domaine privé ou professionnel, soient souvent électriques.
La simple hypothèse d’avoir commis une erreur, ou pire, une faute, vous met dans tous vos états. Vous ne supportez pas l’idée de faillir et encore moins celle d’en subir les conséquences. Ce qui explique que votre entourage réfléchisse à deux fois avant de vous faire des remarques ou de vous poser des questions qui pourraient fâcher.
À l’origine : deux types d’éducation peuvent exacerber la susceptibilité.
L’éducation ultra critique, voire malveillante, qui ne relève que le négatif (erreurs, fautes, échecs, manquements) sans jamais souligner le positif (réussites, efforts) ni prendre en compte des circonstances atténuantes.
Ou, au contraire, une éducation survalorisante, qui rejette systématiquement, en cas de faute, les responsabilités sur les circonstances et/ou sur les autres, mais jamais sur l’enfant.
Certaines personnalités à haut potentiel intellectuel, qui pensent et agissent très vite et commettent de ce fait des erreurs, peuvent ne pas supporter d’être prises en défaut, car elles considèrent que leurs manquements sont de simples détails. Il en va de même pour les perfectionnistes, en général peu satisfaits d’eux-mêmes et de leurs productions, qui vivent de manière douloureuse les critiques.
Les conseils : prendre le temps de méditer quelques minutes pour apaiser ses émotions avant de réagir et de répondre à la critique. Cette pause permet d’identifier l’émotion (peur, colère, honte, tristesse) qui pourrait parasiter l’échange et nous priver d’une réflexion féconde sur notre comportement ou notre production. Une fois le calme recouvré, il est plus facile d’examiner de manière (plus) objective la forme et le contenu de la critique, et d’en tirer des enseignements, si on le juge utile.
Dernière édition par Elia le Mar 6 Avr - 0:34, édité 2 fois