Le parquet de Paris a ouvert cette enquête, confiée à la Sûreté territoriale, pour «violences volontaires en réunion» et «dégradations en réunion».
Une enquête pour «violences volontaires» et «dégradations» a été ouverte après des violences samedi à la fin de la manifestation parisienne du 1er mai qui ont fait plusieurs blessés au sein de la CGT, a indiqué le parquet de Paris dimanche, sollicité par l'AFP.
À la suite des faits commis «à l'encontre de militants et d'un véhicule de la CGT», le parquet de Paris a ouvert cette enquête pour «violences volontaires en réunion» et «dégradations en réunion», confiée à la Sûreté territoriale.
À l'arrivée de la manifestation parisienne place de la Nation vers 18 heures, des militants CGT ont été victimes d'une «extrême violence» commise par «un important groupe d'individus dont certains se revendiquant Gilets jaunes», selon le syndicat, qui a déploré samedi soir «21 blessés dont quatre graves». Les quatre blessés qui avaient été hospitalisés sont depuis sortis de l'hôpital, selon la CGT.
«Insultes homophobes, sexistes, racistes ont précédé des actes de vandalisation des véhicules des organisations», énumère la centrale de Montreuil dans un communiqué.
Une enquête pour «violences volontaires» et «dégradations» a été ouverte après des violences samedi à la fin de la manifestation parisienne du 1er mai qui ont fait plusieurs blessés au sein de la CGT, a indiqué le parquet de Paris dimanche, sollicité par l'AFP.
À la suite des faits commis «à l'encontre de militants et d'un véhicule de la CGT», le parquet de Paris a ouvert cette enquête pour «violences volontaires en réunion» et «dégradations en réunion», confiée à la Sûreté territoriale.
À l'arrivée de la manifestation parisienne place de la Nation vers 18 heures, des militants CGT ont été victimes d'une «extrême violence» commise par «un important groupe d'individus dont certains se revendiquant Gilets jaunes», selon le syndicat, qui a déploré samedi soir «21 blessés dont quatre graves». Les quatre blessés qui avaient été hospitalisés sont depuis sortis de l'hôpital, selon la CGT.
«Insultes homophobes, sexistes, racistes ont précédé des actes de vandalisation des véhicules des organisations», énumère la centrale de Montreuil dans un communiqué.
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