Cette fois, le feu vert au pass sanitaire est accordé par l’ Assemblée nationale. Dans la nuit de mardi à mercredi, à l’issue d’un second vote, les députés ont en effet voté pour l’article clé du projet de loi de sortie progressive de l’état d’urgence sanitaire, comprenant le controversé pass sanitaire. Par 205 voix pour et 85 contre, les députés ont donc finalement dit « oui » au gouvernement en adoptant l’article premier du texte.
Plus tôt dans la soirée mardi, et contre toute attente, l’Assemblée nationale s’était prononcée contre, le MoDem ayant lâché LREM pour protester contre le flou du texte. Les députés avaient alors rejeté l’article 1er par 108 voix contre 103. Invité du JT de 20 heures sur France 2, le Premier ministre Jean Castex avait annoncé que les députés allaient de nouveau délibérer mardi soir afin de « trouver un accord avec la majorité » et de « régler ce problème ».
Concession du gouvernement
Pour mettre fin à la fronde de ses alliés du Modem, l’exécutif a dû faire une concession sur la période de transition durant laquelle des restrictions de libertés seront encore à la main du gouvernement. Celle-ci a été écourtée d’un mois. Prévue initialement du 2 juin au 31 octobre, elle courra finalement jusqu’au 30 septembre. Le pass sanitaire, justificatif de vaccination ou test Covid négatif nécessaires pour accéder à de grands rassemblements, a ainsi pu être adopté sans être retouché.
Plus tôt dans la soirée mardi, et contre toute attente, l’Assemblée nationale s’était prononcée contre, le MoDem ayant lâché LREM pour protester contre le flou du texte. Les députés avaient alors rejeté l’article 1er par 108 voix contre 103. Invité du JT de 20 heures sur France 2, le Premier ministre Jean Castex avait annoncé que les députés allaient de nouveau délibérer mardi soir afin de « trouver un accord avec la majorité » et de « régler ce problème ».
Concession du gouvernement
Pour mettre fin à la fronde de ses alliés du Modem, l’exécutif a dû faire une concession sur la période de transition durant laquelle des restrictions de libertés seront encore à la main du gouvernement. Celle-ci a été écourtée d’un mois. Prévue initialement du 2 juin au 31 octobre, elle courra finalement jusqu’au 30 septembre. Le pass sanitaire, justificatif de vaccination ou test Covid négatif nécessaires pour accéder à de grands rassemblements, a ainsi pu être adopté sans être retouché.
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