Selon ta réponse, je me demande quelle est la différence entre l'hypersensibilité et l'anxiété ?
Quand tu parles de rejeter les conflits, je me demande quelle est la part du choix personnel sur cette question. Car cela n'est pas inné de rejeter les conflits plutôt que de les affronter.
Est-ce qu'à un moment il ne serait pas possible de se dire : j'affronte les conflits et je les règle ?
Car effectivement, tout ce qui n'est pas dit est un poids à porter. Donc fuir les conflits, c'est s'auto-punir à retardement, on finit toujours par se le reprendre dans la figure.
Est-ce que c'est la crainte de son propre comportement à l'intérieur du conflit qui fait qu'on va les éviter, même quand ils sont nécessaires et utiles ?
Quand à faire face aux autres et à ceux qui jugent, ce n'est spécifique à personne. On les croise tous au quotidien, et cela génère forcément de la contrariété. La question est de savoir ce qu'on en fait ensuite. C'est une question que toute personne doit se poser.
Mais certainement que le bouleversement émotionnel est moindre chez une personne qui n'est pas hypersensible.
Quand à ce qu'on appelle le "gasligting", qui est une façon d'essayer de faire passer l'autre pour défaillant, c'est quelque chose auquel j'ai été confrontée aussi, de la part d'une personne en qui j'avais confiance. Je confirme que c'est violent, et qu'on se pose des questions.
Mais une fois qu'on a compris que c'était de la manipulation (parfois il faut du temps), ça ne devrait plus nous remettre en cause.
Je ne fais que poser des questions, car comme je l'ai dit, je ne pense pas être concernée.
La question que je me pose le plus au sujet de l'hypersensibilité, c'est quelle est la part de mental qu'il est possible d'intégrer dans sa vie pour essayer de réguler ses émotions ? Et est-ce qu'une fois qu'on a posé des jalons mentaux (par exemple : je ne suis pas folle, c'est de la manipulation), est-ce que ce n'est pas simplement l'anxiété qui empêche d'avancer ?
Quand tu parles de rejeter les conflits, je me demande quelle est la part du choix personnel sur cette question. Car cela n'est pas inné de rejeter les conflits plutôt que de les affronter.
Est-ce qu'à un moment il ne serait pas possible de se dire : j'affronte les conflits et je les règle ?
Car effectivement, tout ce qui n'est pas dit est un poids à porter. Donc fuir les conflits, c'est s'auto-punir à retardement, on finit toujours par se le reprendre dans la figure.
Est-ce que c'est la crainte de son propre comportement à l'intérieur du conflit qui fait qu'on va les éviter, même quand ils sont nécessaires et utiles ?
Quand à faire face aux autres et à ceux qui jugent, ce n'est spécifique à personne. On les croise tous au quotidien, et cela génère forcément de la contrariété. La question est de savoir ce qu'on en fait ensuite. C'est une question que toute personne doit se poser.
Mais certainement que le bouleversement émotionnel est moindre chez une personne qui n'est pas hypersensible.
Quand à ce qu'on appelle le "gasligting", qui est une façon d'essayer de faire passer l'autre pour défaillant, c'est quelque chose auquel j'ai été confrontée aussi, de la part d'une personne en qui j'avais confiance. Je confirme que c'est violent, et qu'on se pose des questions.
Mais une fois qu'on a compris que c'était de la manipulation (parfois il faut du temps), ça ne devrait plus nous remettre en cause.
Je ne fais que poser des questions, car comme je l'ai dit, je ne pense pas être concernée.
La question que je me pose le plus au sujet de l'hypersensibilité, c'est quelle est la part de mental qu'il est possible d'intégrer dans sa vie pour essayer de réguler ses émotions ? Et est-ce qu'une fois qu'on a posé des jalons mentaux (par exemple : je ne suis pas folle, c'est de la manipulation), est-ce que ce n'est pas simplement l'anxiété qui empêche d'avancer ?