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Définissons ce qu’est l’amour :
si l’amour est passionnel : je m’aime à travers toi pour ce que tu représentes ;
l’amour possession : je ne peux pas vivre sans toi ;
l’amour altruiste : je t’aime parce que tu existes ;
l’amour objet : je t’aime parce que je te désire.
La manière d’aimer est liée à notre éducation et la manière dont nous nous représentons l’autre. Dans son ouvrage "les Sept Lois Naturelles de l'Amour", Deborah Anapol explique que l'amour se définit avant tout par ce qu'il est, mais aussi par ce qu'il n'est pas, et que c'est ainsi que l'on parvient à cerner ce sentiment si puissant et complexe.
Pour elle, l'amour est une force de la nature. Et effectivement, quel que soit notre désir, nous ne pouvons ni le commander, ni l'exiger, ni l'ôter, pas plus que nous ne pouvons commander à la lune ou aux étoiles, ou au vent et à la pluie. L'amour ne suit pas nos propres caprices.
Tout comme nous pouvons avoir une capacité limitée à modifier la météo, au risque cependant de perturber un équilibre écologique que nous ne comprenons pas totalement, nous ne pouvons pas séduire en pensant gagner immédiatement l'amour, alors qu'il s'agira plutôt d'engouement.
L'amour et nous
L'amour est plus grand que l'être humain. On peut être dans une posture d'accueil de l'amour, mais on ne peut pas dicter comment, quand et où il pourra s'exprimer. Nous pouvons choisir de nous y abandonner ou non, mais, en définitive, l'amour frappe comme la foudre : il est imprévisible et irréfutable. Il est changeant, ce qui fait que l'on peut aimer des personnes que l'on détestait initialement. Un amour sain ne doit pas être gorgé de conditions, de stipulations, d'ajouts ou de codes, mais rayonner indépendamment de nos désirs et besoins. C’est vrai pour l’amour passionnel, dans le bouddhisme l’amour véritable est une qualité qui se travaille et se développe par des pratiques spécifiques.
Par essence, l'amour est libre, c'est-à-dire qu'il ne peut pas être acheté, vendu ou échangé. L'argent ne peut pas permettre de se faire aimer ou non. L'amour n'est ni une marchandise, ni un produit, il ne peut pas être emprisonné et n'est pas quantifiable.
Certes, l'argent peut permettre d'avoir des partenaires sexuels ou de mariage. Le mariage, lui, relève de la loi, d'un contrat, mais on sait que l'amour n'est pas une condition sine qua non pour sa constitution. La stimulation et les rapports sexuels peuvent être achetés et vendus, faire l'objet d'un commerce, mais cela ne signifie pas que l'amour puisse être vendu également.
si l’amour est passionnel : je m’aime à travers toi pour ce que tu représentes ;
l’amour possession : je ne peux pas vivre sans toi ;
l’amour altruiste : je t’aime parce que tu existes ;
l’amour objet : je t’aime parce que je te désire.
La manière d’aimer est liée à notre éducation et la manière dont nous nous représentons l’autre. Dans son ouvrage "les Sept Lois Naturelles de l'Amour", Deborah Anapol explique que l'amour se définit avant tout par ce qu'il est, mais aussi par ce qu'il n'est pas, et que c'est ainsi que l'on parvient à cerner ce sentiment si puissant et complexe.
Pour elle, l'amour est une force de la nature. Et effectivement, quel que soit notre désir, nous ne pouvons ni le commander, ni l'exiger, ni l'ôter, pas plus que nous ne pouvons commander à la lune ou aux étoiles, ou au vent et à la pluie. L'amour ne suit pas nos propres caprices.
Tout comme nous pouvons avoir une capacité limitée à modifier la météo, au risque cependant de perturber un équilibre écologique que nous ne comprenons pas totalement, nous ne pouvons pas séduire en pensant gagner immédiatement l'amour, alors qu'il s'agira plutôt d'engouement.
L'amour et nous
L'amour est plus grand que l'être humain. On peut être dans une posture d'accueil de l'amour, mais on ne peut pas dicter comment, quand et où il pourra s'exprimer. Nous pouvons choisir de nous y abandonner ou non, mais, en définitive, l'amour frappe comme la foudre : il est imprévisible et irréfutable. Il est changeant, ce qui fait que l'on peut aimer des personnes que l'on détestait initialement. Un amour sain ne doit pas être gorgé de conditions, de stipulations, d'ajouts ou de codes, mais rayonner indépendamment de nos désirs et besoins. C’est vrai pour l’amour passionnel, dans le bouddhisme l’amour véritable est une qualité qui se travaille et se développe par des pratiques spécifiques.
Par essence, l'amour est libre, c'est-à-dire qu'il ne peut pas être acheté, vendu ou échangé. L'argent ne peut pas permettre de se faire aimer ou non. L'amour n'est ni une marchandise, ni un produit, il ne peut pas être emprisonné et n'est pas quantifiable.
Certes, l'argent peut permettre d'avoir des partenaires sexuels ou de mariage. Le mariage, lui, relève de la loi, d'un contrat, mais on sait que l'amour n'est pas une condition sine qua non pour sa constitution. La stimulation et les rapports sexuels peuvent être achetés et vendus, faire l'objet d'un commerce, mais cela ne signifie pas que l'amour puisse être vendu également.
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