Parfois il arrive que l'on perde ou que l'on prenne du poids pour des raisons psycho-émotionnelles. Par exemple quand on vit un deuil (ce qui est mon cas), on peut aisément prendre du poids, ou en perdre. Prendre du poids dans le cas d'un deuil c'est un peu combler le vide, essayer d'incorporer ce qui manque par la nourriture. L'alimentation est directement liée à l'état psychologique, nous savons à quel point le psychisme peut influer sur notre rapport à la nourriture et à notre poids, notamment aussi au travers des hormones, des tempéraments...
Moi j'ai pris plus de six ou sept kilos en quelques mois, je n'avais pas l'habitude de cela car j'avais un poids très stable, puis j'ai réalisé que cela pouvait provenir de mon état émotionnel. Ces kilos émotionnels sont bien visibles quand on a pas l'habitude de grossir comme moi. Apparemment le deuil a cet effet, on cherche à combler le manque par une prise de poids qui symbolise l'incorporation de l'être disparu. C'est bien sûr purement symbolique, mais les effets sont observables.
A contrario certaines personnes vont perdre beaucoup de poids du fait d'un vécu émotionnel difficile.
Il existe l'IMC (L'indice de masse corporelle) qui permet de mesurer son rapport taille-poids, mais il existe aussi l'IMG (L'indice de masse grasse), qui est censé indiquer quel degré de graisse vient s'incorporer dans le rapport taille-poids. Mais tout ces calculs sont à relativiser selon moi, car ils ne prennent pas en compte la singularité de la personne, son tempérament, nous sommes tous uniques à ce niveau.
Le poids peut donc être fortement influencer par l'état psycho-émotionnel, c'est une certitude.
Moi j'ai pris plus de six ou sept kilos en quelques mois, je n'avais pas l'habitude de cela car j'avais un poids très stable, puis j'ai réalisé que cela pouvait provenir de mon état émotionnel. Ces kilos émotionnels sont bien visibles quand on a pas l'habitude de grossir comme moi. Apparemment le deuil a cet effet, on cherche à combler le manque par une prise de poids qui symbolise l'incorporation de l'être disparu. C'est bien sûr purement symbolique, mais les effets sont observables.
A contrario certaines personnes vont perdre beaucoup de poids du fait d'un vécu émotionnel difficile.
Il existe l'IMC (L'indice de masse corporelle) qui permet de mesurer son rapport taille-poids, mais il existe aussi l'IMG (L'indice de masse grasse), qui est censé indiquer quel degré de graisse vient s'incorporer dans le rapport taille-poids. Mais tout ces calculs sont à relativiser selon moi, car ils ne prennent pas en compte la singularité de la personne, son tempérament, nous sommes tous uniques à ce niveau.
Le poids peut donc être fortement influencer par l'état psycho-émotionnel, c'est une certitude.