Contrairement aux apparences ce n'est pas un pléonasme ! L'empathie c'est la capacité à ressentir ce que l'autre éprouve, un pervers peut être empathique, dans la mesure où il ressent ce que sa victime éprouve pour mieux l'exploiter. En revanche, l'empathie compassionnelle est une véritable émotion d'attachement, on souffre avec autrui, on peut également être triste pour lui (ou elle). C'est ce que je ressens la plupart du temps ! Et c'est assez développé chez moi. C'est l'une des raisons pour lesquelles j'ai opté pour ces métiers liés de près ou de loin à l'aide et l'écoute, car l'empathie compassionnelle devient un véritable atout dans ce cas, à condition de ne pas trop s'impliquer, car d'autres personnes ont besoin de cela.
Certains psys dénoncent le fait qu'il n'y ait pas assez d'empathie compassionnelle dans la profession, on peut être bienveillant, attentif, etc. Mais être dans ce type d'empathie c'est être humainement bienveillant et chaleureux. Tous les psys n'exhalent pas cela, il en est qui se drapent derrière leur toge de psy et qui estiment que l'engagement ne doit pas aller au-delà. C'est un débat important, car l'empathie compassionnelle est un lien très puissant, qui peut certes être un investissement énergétique important mais qui peut aussi nourrir le lien, la thérapie, avec éthique et humanité. Et vous, que pensez-vous de cela ?
Certains psys dénoncent le fait qu'il n'y ait pas assez d'empathie compassionnelle dans la profession, on peut être bienveillant, attentif, etc. Mais être dans ce type d'empathie c'est être humainement bienveillant et chaleureux. Tous les psys n'exhalent pas cela, il en est qui se drapent derrière leur toge de psy et qui estiment que l'engagement ne doit pas aller au-delà. C'est un débat important, car l'empathie compassionnelle est un lien très puissant, qui peut certes être un investissement énergétique important mais qui peut aussi nourrir le lien, la thérapie, avec éthique et humanité. Et vous, que pensez-vous de cela ?