En route pour le temple, Natsuda Jantaptim, propriétaire d’un salon de beauté à Bangkok, décrit en conduisant les goûts de son « bébé » prénommé Ruay Jang, qui aime le lait à la fraise. A première vue, une conversation classique avec une mère de famille attentive. Sauf que Ruay Jang, assise sur le siège passager, n’est pas une enfant mais une grande poupée en plastique.
Les adeptes des poupées, dont beaucoup ont été bénies par un moine, pensent que ces dernières contiennent l’esprit d’un enfant et doivent donc être traitées comme des êtres vivants. En retour, les propriétaires seront récompensés, estiment-ils.
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