Sept minutes de terreur. A 20h55 ce jeudi [21h55 en France métropolitaine*], le rover Perseverance s’apprêtera à entrer dans l’atmosphère de Mars, l’avant dernière étape d’un long voyage de 480 millions de km commencé le 30 juillet dernier par un décollage réussi depuis Cap Canaveral (Floride).
Autrement dit, ce jeudi soir, Perseverance sera tout près de pouvoir commencer sa mission : arpenter la planète rouge pour y trouver d’éventuelles traces de vie, et même collecter des échantillons de roches martiennes qu’il conditionnera dans des tubes étanches, les laissant ensuite sur son passage. Avec l’espoir, un jour, de pouvoir les ramener sur Terre.
Une formule qui n’est pas nouvelle
Mais avant de pouvoir se mettre au travail, Perseverance devra en passer par ces « sept minutes de terreur », expression utilisée par la Nasa pour évoquer ce moment ô combien périlleux dans une mission martienne qu’est l’atterrissage. « Déjà pour Curiosity, un précédent rover posé sur Mars en août 2012, l’agence spatiale américaine parlait de sept minutes de terreur, raconte Olivier Sanguy, médiateur scientifique de la Cité de l’espace à Toulouse. C’est qu’alors, la technique d’atterrissage utilisée pour Curiosity (et qui sera reprise pour Perseverance) était complètement novatrice. »
Autrement dit, ce jeudi soir, Perseverance sera tout près de pouvoir commencer sa mission : arpenter la planète rouge pour y trouver d’éventuelles traces de vie, et même collecter des échantillons de roches martiennes qu’il conditionnera dans des tubes étanches, les laissant ensuite sur son passage. Avec l’espoir, un jour, de pouvoir les ramener sur Terre.
Une formule qui n’est pas nouvelle
Mais avant de pouvoir se mettre au travail, Perseverance devra en passer par ces « sept minutes de terreur », expression utilisée par la Nasa pour évoquer ce moment ô combien périlleux dans une mission martienne qu’est l’atterrissage. « Déjà pour Curiosity, un précédent rover posé sur Mars en août 2012, l’agence spatiale américaine parlait de sept minutes de terreur, raconte Olivier Sanguy, médiateur scientifique de la Cité de l’espace à Toulouse. C’est qu’alors, la technique d’atterrissage utilisée pour Curiosity (et qui sera reprise pour Perseverance) était complètement novatrice. »
Intégralité de l'article ...