« La vie est éternelle, pas l'homme. » Cette phrase de Manu Dibango, lâchée dans un de ses grands éclats de rire, résonne tristement ce mercredi. Il y a tout juste un an, l'immense saxophoniste disparaissait à l'âge de 86 ans. Le Camerounais était la première célébrité mondiale victime du Covid-19. Un choc planétaire qui tranchait avec le dénuement de son enterrement, réalisé quelques jours plus tard dans le respect de la plus draconienne des réglementations sanitaires, en présence de seulement vingt intimes au Père-Lachaise.
Une année a passé et à cause de la pandémie mondiale, Manu Dibango n'a toujours pas reçu l'hommage populaire et international digne de son aura et de son œuvre. « Nous attendons la réouverture des salles de spectacles et des cinémas pour le faire, explique Claire Diboa, sa manageuse. Nous nous préparons pour être prêts ce jour-là. Ce mercredi, nous vivrons le deuil en famille, mais c'est difficile. Lui qui aimait tant les gens est parti presque tout seul. »
Une année a passé et à cause de la pandémie mondiale, Manu Dibango n'a toujours pas reçu l'hommage populaire et international digne de son aura et de son œuvre. « Nous attendons la réouverture des salles de spectacles et des cinémas pour le faire, explique Claire Diboa, sa manageuse. Nous nous préparons pour être prêts ce jour-là. Ce mercredi, nous vivrons le deuil en famille, mais c'est difficile. Lui qui aimait tant les gens est parti presque tout seul. »
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