Le soleil, les beaux jours (presque) de retour… et le jardinage avec eux. A Strasbourg, la pratique en pleine terre n’est pas réservée qu’aux locataires ou propriétaires de terrain. Sans être une exception française, la capitale alsacienne possède de nombreux jardins familiaux. Près de 5.000, 4.950 précisément sur son ban communal, ce qui représente 162 hectares à attribuer à des mains vertes volontaires.
Et ils sont nombreux ! « Avant le Covid-19, on devait avoir 1.000 demandes en attente. Ça a explosé, on a aujourd’hui 1.800 particuliers qui attendant un terrain. Il faut maintenant compter minimum 4 à 5 ans pour en obtenir un », détaille Philippe Bambis, le chef du département des jardins familiaux à la mairie. « Je précise : il faut redire sa volonté chaque année, être majeur, habiter Strasbourg et ne pas disposer d’un terrain par ailleurs. »
Sinon, la parcelle, en moyenne « de 150 à 180 m² » sera donc attribuée à quelqu’un d’autre, toujours contre une somme allant de 30 à 128 euros par an, selon les équipements du lieu. Une attribution à vie et transmissible à un membre de sa famille. A moins d’en être chassé avant !
Et ils sont nombreux ! « Avant le Covid-19, on devait avoir 1.000 demandes en attente. Ça a explosé, on a aujourd’hui 1.800 particuliers qui attendant un terrain. Il faut maintenant compter minimum 4 à 5 ans pour en obtenir un », détaille Philippe Bambis, le chef du département des jardins familiaux à la mairie. « Je précise : il faut redire sa volonté chaque année, être majeur, habiter Strasbourg et ne pas disposer d’un terrain par ailleurs. »
Sinon, la parcelle, en moyenne « de 150 à 180 m² » sera donc attribuée à quelqu’un d’autre, toujours contre une somme allant de 30 à 128 euros par an, selon les équipements du lieu. Une attribution à vie et transmissible à un membre de sa famille. A moins d’en être chassé avant !
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