Elle est discrète ou conquérante, en sommeil ou active, mais présente en chacun de nous. Découvrez celle qui vous protège et vous aide à avancer.
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Solidarité, partage, empathie, rejet de l’égoïsme et de l’individualisme sous toutes ses formes… La force d’alliance est fondée sur la croyance que le sens de la vie, le salut individuel et collectif sont dans le « nous », et se conjugue a un besoin d’appartenance au groupe (familial, amical, professionnel, social) très marqué. Ce sentiment d’appartenance peut être fermé, restreint aux seuls membres du « clan », ou bien ouvert, étendu aux autres. Ceux qui le vivent sous cette forme, plus idéalistes qu’autarciques, investissent leur énergie dans des activités humanitaires ou bénévoles. Leurs points communs : être très à l’écoute des besoins des autres et n’avoir aucun mal à faire passer leur intérêt personnel derrière l’intérêt collectif, parfois jusqu’au sacrifice. Ils sont pourvus, en général, d’une intelligence relationnelle qui se caractérise par la capacité à tisser facilement des relations, à puiser chez les autres les compétences qui leur manquent et à offrir celles qu’ils possèdent, car ils sont conscients que plus une alliance est égalitaire, plus elle est durable et solide.
Plus ce « nous » est clanique, moins il est ouvert, plus il fonctionne sur le mode belliqueux du « nous contre les autres ». Des lors, on peut se demander au service de quelle cause cette force d’alliance est mise et a quelle nécessité psychique elle répond. Elle peut aussi induire une abnégation totale (le « je » se dissout dans le « nous »), une peur de la solitude, du face-à-face avec soi-même, une incapacité à soutenir son désir personnel.
Vers l’équilibre : veiller à respecter la bonne mesure du « je » et du « nous » en interrogeant son désir (qu’est-ce que je veux vraiment pour moi ?), puis en repérant ce qui l’empêche d’émerger (la culpabilité, la peur…). Plus le « je » est libre de s’exprimer, plus la force du « nous » est puissante et utilisée à bon escient.