Le syndrome de fatigue chronique touche 800 000 à 2,5 millions d’américains. Il s’exprime par une fatigue que l’on ressent au quotidien, mais dont on ne parvient pas à retrouver la cause. C’est justement sur le territoire américain que ce drôle de trouble vient d’obtenir un nouveau nom : le syndrome de l’intolérance à l’effort, soit SEID (systemic exertion intolerance disease).
On doit ce nouveau nom à l’Institut Américain de médecine, sollicité par le ministère américain de la santé et par de nombreuses institutions officielles. La fatigue connue par le SEID s’accroîtrait lorsque le sujet fournit un effort, mais il serait également victime de douleurs articulaires et musculaires diffuses, et évidemment, d’un sommeil non réparateur.
Le phénomène ne touche pas que les USA, puisqu’on compte plus de 150 000 personnes « victimes » de ce trouble en France. Fin 2014, une étude portant justement sur ce trouble étrange relevait des anomalies dans la substance blanche présente dans notre cerveau. En saura-t-on plus cette année ?
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On doit ce nouveau nom à l’Institut Américain de médecine, sollicité par le ministère américain de la santé et par de nombreuses institutions officielles. La fatigue connue par le SEID s’accroîtrait lorsque le sujet fournit un effort, mais il serait également victime de douleurs articulaires et musculaires diffuses, et évidemment, d’un sommeil non réparateur.
Le phénomène ne touche pas que les USA, puisqu’on compte plus de 150 000 personnes « victimes » de ce trouble en France. Fin 2014, une étude portant justement sur ce trouble étrange relevait des anomalies dans la substance blanche présente dans notre cerveau. En saura-t-on plus cette année ?
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