Des négociations encore plus tendues
Les Européens ont passé la semaine à prévenir Alexis Tsipras qu’une victoire du « non » l’exposerait à de graves conséquences. Vendredi, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, l’a notamment averti qu’en cas de « non » au référendum, « la position grecque [serait] considérablement affaiblie ». De son côté, le gouvernement grec explique depuis l’annonce du scrutin que le refus du plan par les électeurs est de nature à lui donner du poids dans les négociations.
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