Je tenais à vous présenter ce récit qui me touche, issu d'un reportage que j'ai vu il y a peu :
L'action se déroule en Inde, trois jeunes filles partent pour l'école, il est encore tôt, et mille choses les attendent sur leur chemin. Leur cartable sur l'épaule elles marchent. Il faut se hâter, après avoir parcouru le premier chemin, la rivière les attend, il faut la traverser, et pas de pont ! Porter son cartable à bout de bras, au risque de mouiller ses affaires, ses cahiers, sans parler des vêtements qu'il faut faire sécher juste après la traversée sur des pierres brûlantes ! Et puis il y a ces hommes, les hommes de la plantation qui parfois les insultent ! Pourquoi ? Parce que ce sont des filles, les filles ne doivent pas aller à l'école, c'est ainsi... Il faut marcher, marcher vers l'avenir, un avenir comme un horizon chargé d'espoir. Plus loin des animaux sauvages plutôt imprévisibles, des chemins boueux encore et encore, et puis l'école est en vue !
Là, il faut se mettre en rang, le maître est un homme (bien sûr), il a l'air sévère, fait entrer les filles (séparées des garçons) dans la classe, une classe où l'on doit s'asseoir à même le sol. L'une des jeunes filles rêve de devenir médecin, un rêve, pour soigner les gens de son village, qui manquent de soin et peut-être de rêve, contrairement à elle... Les autres ne savent pas, le saurons-elles un jour ? Mais le lendemain il faut recommencer, aller à l'école, encore et encore. Apprendre, c'est important, apprendre aussi le courage et la volonté d'aller plus loin encore...
C'est ainsi que des enfants indiens vont à l'école chaque jour, et moi je leur construirais un pont, juste un pont ! Pas seulement celui qui enjamberait la rivière non, le pont qui relie les coeurs et les espoirs entre eux, les âmes, faire de leur rêve une réalité.
L'action se déroule en Inde, trois jeunes filles partent pour l'école, il est encore tôt, et mille choses les attendent sur leur chemin. Leur cartable sur l'épaule elles marchent. Il faut se hâter, après avoir parcouru le premier chemin, la rivière les attend, il faut la traverser, et pas de pont ! Porter son cartable à bout de bras, au risque de mouiller ses affaires, ses cahiers, sans parler des vêtements qu'il faut faire sécher juste après la traversée sur des pierres brûlantes ! Et puis il y a ces hommes, les hommes de la plantation qui parfois les insultent ! Pourquoi ? Parce que ce sont des filles, les filles ne doivent pas aller à l'école, c'est ainsi... Il faut marcher, marcher vers l'avenir, un avenir comme un horizon chargé d'espoir. Plus loin des animaux sauvages plutôt imprévisibles, des chemins boueux encore et encore, et puis l'école est en vue !
Là, il faut se mettre en rang, le maître est un homme (bien sûr), il a l'air sévère, fait entrer les filles (séparées des garçons) dans la classe, une classe où l'on doit s'asseoir à même le sol. L'une des jeunes filles rêve de devenir médecin, un rêve, pour soigner les gens de son village, qui manquent de soin et peut-être de rêve, contrairement à elle... Les autres ne savent pas, le saurons-elles un jour ? Mais le lendemain il faut recommencer, aller à l'école, encore et encore. Apprendre, c'est important, apprendre aussi le courage et la volonté d'aller plus loin encore...
C'est ainsi que des enfants indiens vont à l'école chaque jour, et moi je leur construirais un pont, juste un pont ! Pas seulement celui qui enjamberait la rivière non, le pont qui relie les coeurs et les espoirs entre eux, les âmes, faire de leur rêve une réalité.