Les anxieux qui cogitent tout le temps sont en réalité des génies

Happy67 a écrit:

Mia a écrit:En fait j'adore l'humour et l'autodérision... mais sinon c'est vrai que je suis une grande anxieuse et que je cogite beaucoup. Donc je suis rassurée et je garde le petit espoir qu'un génie sommeille en moi, parce que je n'ai pas fait de grandes études (je détestais l'école) et je n'ai pas inventé le fil à couper le beurre, même si j'adore les tartines

Plus je côtoie les gens, plus je constate que l'intérêt que je porte à quelqu'un et la sympathie que j'éprouve à son égard ne dépend pas de son niveau d'études. Heureusement, d'ailleurs !

Elia a écrit:l'intelligence - et surtout la capacité à avoir de l'humour et de l'autodérision - n'ont rien à voir avec les diplômes des fois c'est même l'inverse

Mia a écrit:Merci, depuis que je vous lis je me trouve intelligente

Loba a écrit:Heureusement qu'il est possible d'être ni l'un ni l'autre !

Loba a écrit:c'est souvent le fait de trop cogiter, trop être dans le mental qui empêche d'être heureux... sauf si on se sert de son mental pour ne pas être dans le mental, vous me suivez ?

Mais quand on ne pense pas trop, je crois qu'on est plus heureux !

Psycholive a écrit: mieux vaut tard que jamais (et non pas vieux motard que jamais),

Elia a écrit:

Psycholive a écrit: mieux vaut tard que jamais (et non pas vieux motard que jamais),

On dit : Vieux motard que j'aimais  

Ringo94 a écrit:J'ai eu également 2 décès dans ma famille cette année et je me demande si cela n'a pas accentué en moi une certaine peur de la mort.

Happy67 a écrit:

Ringo94 a écrit:J'ai eu également 2 décès dans ma famille cette année et je me demande si cela n'a pas accentué en moi une certaine peur de la mort.

J'arrive à comprendre la peur de la vieillesse, du handicap à cause de la perte progressive ou brutale de ses capacités mais pas la peur de la mort. Quelqu'un a dit : ''Le plus beau jour de ma vie sera celui de ma mort.''  La mienne, je l'attends depuis si longtemps. Il y a des pertes dont on ne se remets pas. C'est un gouffre qui m'aspire. De l'autre côté, des bras accueillants se tendent et je ressentirai à nouveau cette étreinte qui m'a tellement manqué.