La zone euro a lancé lundi un ultimatum à la Grèce pour accepter d'ici vendredi l'extension de son programme de redressement, le ministre grec se disant lui malgré tout confiant sur la possibilité de trouver un accord sous 48 heures.
Il est "très clair que le prochain pas doit venir des autorités grecques (...) et au vu du calendrier, on peut utiliser cette semaine, mais c'est à peu près tout", a déclaré lors d'une conférence de presse le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, après l'interruption abrupte des négociations entre ministres des Finances de l'Eurogroupe à Bruxelles.
Il a évoqué la possibilité d'une nouvelle réunion exceptionnelle des mêmes ministres vendredi. "A condition que les Grecs demandent une extension et présentent une requête valable", selon l'entourage de M. Dijsselbloem."Il n'y a pas d'alternative à la prolongation du programme", a renchéri le commissaire européen aux Affaires économiques, Pierre Moscovici ajoutant "nous allons continuer le dialogue cette semaine".
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Il est "très clair que le prochain pas doit venir des autorités grecques (...) et au vu du calendrier, on peut utiliser cette semaine, mais c'est à peu près tout", a déclaré lors d'une conférence de presse le président de l'Eurogroupe, Jeroen Dijsselbloem, après l'interruption abrupte des négociations entre ministres des Finances de l'Eurogroupe à Bruxelles.
Il a évoqué la possibilité d'une nouvelle réunion exceptionnelle des mêmes ministres vendredi. "A condition que les Grecs demandent une extension et présentent une requête valable", selon l'entourage de M. Dijsselbloem."Il n'y a pas d'alternative à la prolongation du programme", a renchéri le commissaire européen aux Affaires économiques, Pierre Moscovici ajoutant "nous allons continuer le dialogue cette semaine".
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