Un succès bien au-delà de leurs espérances. Lancée il y a huit jours à Lyon, la plateforme d’entraide «#1cabaspour1étudiant» cartonne. Et les deux fondatrices croulent sous les demandes d’adhésion. « Au point de ne plus avoir le temps de manger », confesse en riant Marion Dolisy Galzy. Plus de mille personnes se sont déjà inscrites sur le site, qui consiste à mettre en lien un « parrain » et un étudiant de son quartier afin de lui remettre régulièrement un panier de commissions. Et de l’aider ainsi à traverser la crise.
« Cela va bien au-delà de ce que l’on imaginait, poursuit Marion Dolisy Galzy. Les demandes affluent même de toute la France ». Cette mère de famille et sa complice Anne Wuattier ont trouvé l’idée « en trois heures ». « On a déjeuné ensemble le 4 février, le lendemain, on commençait à créer le site », poursuit-elle.
Précarité étudiante
« L’idée m’est venue de ma maman. Elle préparait régulièrement des cabas pour les gens en difficulté qui habitaient dans notre quartier. Mes parents avaient aussi régulièrement l’habitude d’accueillir à leur table, le dimanche midi, des étudiants étrangers », raconte Marion qui a ainsi souhaité faire perdurer cet « héritage-là ». La crise actuelle, ayant permis de mettre l’accent sur la précarité étudiante, a été le détonateur. Anne Wuattier, déjà très engagée dans le domaine de la solidarité, a vu cela comme une évidence.
« Cela va bien au-delà de ce que l’on imaginait, poursuit Marion Dolisy Galzy. Les demandes affluent même de toute la France ». Cette mère de famille et sa complice Anne Wuattier ont trouvé l’idée « en trois heures ». « On a déjeuné ensemble le 4 février, le lendemain, on commençait à créer le site », poursuit-elle.
Précarité étudiante
« L’idée m’est venue de ma maman. Elle préparait régulièrement des cabas pour les gens en difficulté qui habitaient dans notre quartier. Mes parents avaient aussi régulièrement l’habitude d’accueillir à leur table, le dimanche midi, des étudiants étrangers », raconte Marion qui a ainsi souhaité faire perdurer cet « héritage-là ». La crise actuelle, ayant permis de mettre l’accent sur la précarité étudiante, a été le détonateur. Anne Wuattier, déjà très engagée dans le domaine de la solidarité, a vu cela comme une évidence.
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