La crise de la quarantaine, c’est quoi ?
Ce qu’on appelle « crise de la quarantaine » porte chez nos amis anglo-saxons le nom plus exact de « middle life crisis », ou crise de milieu de vie. Parce qu’aujourd’hui, progrès de la médecine, meilleure alimentation et hygiène de vie obligent, on vit plus vieux. Alors cette crise, elle survient plus souvent à la cinquantaine, lorsque les enfants (qu’on a eux aussi eus plus tard) commencent à prendre leur indépendance.
Son origine ? Arrivé au « pic » de notre existence (au milieu, donc), on se trouverait sur un point d’observation particulier nous permettant de faire le bilan de notre passé, et d’appréhender avec angoisse cette nouvelle période de « redescente » vers notre propre finitude, à laquelle on n’avait pas forcément pensé jusque-là (gloups). Résultat, un sentiment vertigineux et des questions de l’ordre de « Qu’ai-je accompli ? », « Me reste-t-il vraiment des choses à vivre ? », « Mon boulot me convient-il, finalement ? Et mon/ma conjoint.e ? »… Bref, tout un tas de prises de conscience, de remises en question et de pertes de repère à l’heure où la famille s’éparpille et où l’on a l’impression que si l’on veut se réinventer, c’est l’occasion… ou jamais.
Ce qu’on appelle « crise de la quarantaine » porte chez nos amis anglo-saxons le nom plus exact de « middle life crisis », ou crise de milieu de vie. Parce qu’aujourd’hui, progrès de la médecine, meilleure alimentation et hygiène de vie obligent, on vit plus vieux. Alors cette crise, elle survient plus souvent à la cinquantaine, lorsque les enfants (qu’on a eux aussi eus plus tard) commencent à prendre leur indépendance.
Son origine ? Arrivé au « pic » de notre existence (au milieu, donc), on se trouverait sur un point d’observation particulier nous permettant de faire le bilan de notre passé, et d’appréhender avec angoisse cette nouvelle période de « redescente » vers notre propre finitude, à laquelle on n’avait pas forcément pensé jusque-là (gloups). Résultat, un sentiment vertigineux et des questions de l’ordre de « Qu’ai-je accompli ? », « Me reste-t-il vraiment des choses à vivre ? », « Mon boulot me convient-il, finalement ? Et mon/ma conjoint.e ? »… Bref, tout un tas de prises de conscience, de remises en question et de pertes de repère à l’heure où la famille s’éparpille et où l’on a l’impression que si l’on veut se réinventer, c’est l’occasion… ou jamais.
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