Après une rupture amoureuse, peut-on rompre la malédiction? Pas évident, selon une étude allemande. Mais il existe des techniques efficaces pour conserver l’harmonie du couple malgré les conflits inévitables.
Le scénario typique de la vie et mort d’un couple est bien connu. D’abord une véritable «lune de miel», avec idéalisation du partenaire dont on ne voit pas (ou ne veut pas voir) les défauts. Ensuite un déclin plus ou moins rapide et marqué de la satisfaction (désillusion) lorsqu’on redescend sur terre. Enfin la rupture, lorsque la relation tourne à l’affrontement ouvert à l’occasion de conflits.
Il y a quelques mois, une étude publiée dans le «Journal of Family Psychology» répondait à la question suivante: une nouvelle relation de couple est-elle différente de la précédente? Pour y répondre, Matthew Johnson (Université d’Alberta, Canada) et Franz Neyer (Université d’Iéna, Allemagne) ont eu l’idée de reprendre quatre vagues d’une enquête prévue pour durer jusqu’en 2022, menée en Allemagne depuis 2008 auprès de 6201 couples.
Johnson et Neyer ont ensuite analysé les réponses de 554 participants qui avaient formé deux couples successifs lors des différentes vagues. L’idée était d’évaluer deux hypothèses, celle d’une répétition du scénario précédent sur la base d’une certaine stabilité des comportements d’attachement (et des choix de partenaire) quel que soit le nouveau partenaire, l’autre d’un apprentissage social et d’une nouvelle dynamique de couple forcément différente, puisqu’avec un nouvel individu.
Le scénario typique de la vie et mort d’un couple est bien connu. D’abord une véritable «lune de miel», avec idéalisation du partenaire dont on ne voit pas (ou ne veut pas voir) les défauts. Ensuite un déclin plus ou moins rapide et marqué de la satisfaction (désillusion) lorsqu’on redescend sur terre. Enfin la rupture, lorsque la relation tourne à l’affrontement ouvert à l’occasion de conflits.
Il y a quelques mois, une étude publiée dans le «Journal of Family Psychology» répondait à la question suivante: une nouvelle relation de couple est-elle différente de la précédente? Pour y répondre, Matthew Johnson (Université d’Alberta, Canada) et Franz Neyer (Université d’Iéna, Allemagne) ont eu l’idée de reprendre quatre vagues d’une enquête prévue pour durer jusqu’en 2022, menée en Allemagne depuis 2008 auprès de 6201 couples.
Johnson et Neyer ont ensuite analysé les réponses de 554 participants qui avaient formé deux couples successifs lors des différentes vagues. L’idée était d’évaluer deux hypothèses, celle d’une répétition du scénario précédent sur la base d’une certaine stabilité des comportements d’attachement (et des choix de partenaire) quel que soit le nouveau partenaire, l’autre d’un apprentissage social et d’une nouvelle dynamique de couple forcément différente, puisqu’avec un nouvel individu.
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