Pour certain.es, elle est la tentative de la dernière chance. Pour d’autres, un moyen de dénouer les conflits d’une relation où on ne sait plus se parler. Pour vérifier l’inéluctabilité d’une rupture ou régler les problèmes, les couples sont de plus en plus nombreux à passer par la case « thérapie ». Avec succès ?
Autrefois, on choisissait à peine (ou pas) sa moitié, que l’on épousait jeune, avant de passer sa vie à son côté, malgré les hauts, les bas, le meilleur et souvent le pire.
Puis, le divorce s’est démocratisé. Se séparer n’a petit à petit plus été un interdit ni un tabou, les femmes – qui sont beaucoup plus souvent à l’origine de la séparation – sont devenues visibles dans la société, ont pu ouvrir un compte en banque sans l’accord de leur mari (sic), travailler, gagner leur vie et avoir la liberté, ainsi, de quitter le couple lorsque celui-ci ne fonctionnait plus.
Et si, dans un premier temps, cette liberté offerte de renouer avec le célibat quand l’amour est mort a généré bien des séparations, il semble que depuis quelques années, la tendance s’inverse.
En effet, les études montrent qu’après un boom situé entre les années 1970 et 1990, le taux de divorce tend aujourd’hui à baisser chez des couples qui, outre la crise qui entre en ligne de compte, sont moins enclins à tout envoyer balader sans avoir au préalable cherché à réparer ce qui peut l’être. Résultat, des cabinets de thérapeutes de couple qui se remplissent et 70%* de ceux qui entreprennent ce travail à deux pour qui la situation s’améliore. Alors, magique, la thérapie de couple ?
Autrefois, on choisissait à peine (ou pas) sa moitié, que l’on épousait jeune, avant de passer sa vie à son côté, malgré les hauts, les bas, le meilleur et souvent le pire.
Puis, le divorce s’est démocratisé. Se séparer n’a petit à petit plus été un interdit ni un tabou, les femmes – qui sont beaucoup plus souvent à l’origine de la séparation – sont devenues visibles dans la société, ont pu ouvrir un compte en banque sans l’accord de leur mari (sic), travailler, gagner leur vie et avoir la liberté, ainsi, de quitter le couple lorsque celui-ci ne fonctionnait plus.
Et si, dans un premier temps, cette liberté offerte de renouer avec le célibat quand l’amour est mort a généré bien des séparations, il semble que depuis quelques années, la tendance s’inverse.
En effet, les études montrent qu’après un boom situé entre les années 1970 et 1990, le taux de divorce tend aujourd’hui à baisser chez des couples qui, outre la crise qui entre en ligne de compte, sont moins enclins à tout envoyer balader sans avoir au préalable cherché à réparer ce qui peut l’être. Résultat, des cabinets de thérapeutes de couple qui se remplissent et 70%* de ceux qui entreprennent ce travail à deux pour qui la situation s’améliore. Alors, magique, la thérapie de couple ?
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