Alors qu'elle passait pour la troisième fois à proximité de Vénus, la sonde Parker Solar Probe a enregistré un signal radio en provenance de la planète. Ou plutôt, de son atmosphère. Un signal tout à fait naturel, mais qui permettra peut-être aux astronomes de mieux comprendre comment Vénus a évolué pour en arriver à son visage actuel.
Parker Solar Probe, comme son nom l'indique, c'est une sonde spatiale qui file actuellement vers notre Soleil. En chemin, la mission a croisé la route de Vénus, offrant aux chercheurs plusieurs vues imprenables sur la planète. Plusieurs fois déjà. L'occasion pour les astronomes de la Nasa, lors de son dernier passage, de mesurer directement, pour la première fois depuis près de 30 ans, l'atmosphère de la planète. Et ils y ont détecté... un signal radio. Un signal à basse fréquence tout ce qu'il y a de plus naturel. Mais qui pourrait renseigner les astronomes sur le comment et le pourquoi Vénus et notre Terre ont évolué de manière si différente.
Car le même type de signal a déjà été enregistré par la mission Galileo, du côté de Jupiter. Du côté de sa ionosphère, plus précisément. Une preuve, donc, que Parker Solar Probe était lui-même en train de traverser l'ionosphère de Vénus. Une couche chargée électriquement de la haute atmosphère de la planète qui émet naturellement des ondes radio. Une aubaine !
Parker Solar Probe, comme son nom l'indique, c'est une sonde spatiale qui file actuellement vers notre Soleil. En chemin, la mission a croisé la route de Vénus, offrant aux chercheurs plusieurs vues imprenables sur la planète. Plusieurs fois déjà. L'occasion pour les astronomes de la Nasa, lors de son dernier passage, de mesurer directement, pour la première fois depuis près de 30 ans, l'atmosphère de la planète. Et ils y ont détecté... un signal radio. Un signal à basse fréquence tout ce qu'il y a de plus naturel. Mais qui pourrait renseigner les astronomes sur le comment et le pourquoi Vénus et notre Terre ont évolué de manière si différente.
Car le même type de signal a déjà été enregistré par la mission Galileo, du côté de Jupiter. Du côté de sa ionosphère, plus précisément. Une preuve, donc, que Parker Solar Probe était lui-même en train de traverser l'ionosphère de Vénus. Une couche chargée électriquement de la haute atmosphère de la planète qui émet naturellement des ondes radio. Une aubaine !
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