« Vous êtes de celles dont le mental peine à se mettre en veille une fois les lumières éteintes ? Celles dont le flot des pensées se joint systématiquement au flot de l’eau sous votre douche ? Celles qui réfléchissent quinze fois avant de se lancer dans un nouveau projet ?
Je fais le ménage dans ma tête (et pas que) !
En femme lucide, vous avez conscience qu’une bonne partie des pensées qui vous encombrent aujourd’hui sont des pensées parasites. Mais vous ne savez pas comment vous en défaire. Et bien comme vous videz vos ordures ménagères, videz vos poubelles mentales !
Comme nous l’explique Jonathan Lehmann, dans l’une de ses conférences intitulée « Les antisèches du bonheur », il nous invite, le soir, avant de nous coucher à nous défaire concrètement de nos pensées sombres. Un papier, un crayon, on déverse ainsi tout ce qui nous tracasse pour mieux nous en défaire.
Mais d’après une étude menée par Richard Petty, Professeur à l’université de l’Ohio, il faut faire attention à cette feuille, sur laquelle on a collecté nos pensées. Ainsi on n’hésitera pas à la jeter à la poubelle ou carrément la brûler (avec précautions).
Une fois le ménage fait dans votre tête, n’hésitez pas aussi à vraiment faire de la place autour de vous : videz vos placards, faites du tri. C’est totalement libérateur pour vos prises de tête.
Je surfe sur le flot de mes pensées
D’après les croyances bouddhistes, toute chose est vouée à disparaître (c’est l’impermanence : anitya en sanskrit). Tout évolue dans la vie, comme dans nos têtes !
Quand une idée noire vient nous habiter, la meilleure option est donc la cohabitation. J’accepte que cette émotion me traverse, je ne lutte pas contre elle. Un peu comme dans une mer agitée, où l’on se fait embarquer par un rouleau. Pour sortir la tête de l’eau, il faut se laisser porter. En d’autres termes : laisser couler.
Et grâce à cette règle on parvient à relativiser : « Si dans cinq ans ma prise de tête n’a plus d’importance, je n’y passe pas plus de cinq minutes ».
Je fais le ménage dans ma tête (et pas que) !
En femme lucide, vous avez conscience qu’une bonne partie des pensées qui vous encombrent aujourd’hui sont des pensées parasites. Mais vous ne savez pas comment vous en défaire. Et bien comme vous videz vos ordures ménagères, videz vos poubelles mentales !
Comme nous l’explique Jonathan Lehmann, dans l’une de ses conférences intitulée « Les antisèches du bonheur », il nous invite, le soir, avant de nous coucher à nous défaire concrètement de nos pensées sombres. Un papier, un crayon, on déverse ainsi tout ce qui nous tracasse pour mieux nous en défaire.
Mais d’après une étude menée par Richard Petty, Professeur à l’université de l’Ohio, il faut faire attention à cette feuille, sur laquelle on a collecté nos pensées. Ainsi on n’hésitera pas à la jeter à la poubelle ou carrément la brûler (avec précautions).
Une fois le ménage fait dans votre tête, n’hésitez pas aussi à vraiment faire de la place autour de vous : videz vos placards, faites du tri. C’est totalement libérateur pour vos prises de tête.
Je surfe sur le flot de mes pensées
D’après les croyances bouddhistes, toute chose est vouée à disparaître (c’est l’impermanence : anitya en sanskrit). Tout évolue dans la vie, comme dans nos têtes !
Quand une idée noire vient nous habiter, la meilleure option est donc la cohabitation. J’accepte que cette émotion me traverse, je ne lutte pas contre elle. Un peu comme dans une mer agitée, où l’on se fait embarquer par un rouleau. Pour sortir la tête de l’eau, il faut se laisser porter. En d’autres termes : laisser couler.
Et grâce à cette règle on parvient à relativiser : « Si dans cinq ans ma prise de tête n’a plus d’importance, je n’y passe pas plus de cinq minutes ».
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