Génération hyper sensible ?

https://www.lespetitspasdenthalpie.com/single-post/2018/03/13/Hypersensible-une-g%C3%A9n%C3%A9ration-%C3%A9mergente



Hypersensible, une génération émergente
13.03.2018

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Marina Failliot-Laloux

Bande-annonce du film documentaire : “Hypersensible, une génération émergente






Ils sont de plus en plus nombreux à venir consulter : ce sont des enfants, des adolescents, des jeunes adultes également. On les appelle des « hypersensibles ».



Ils sont également souvent porteur de troubles des apprentissages, comme les troubles Dys, les TDAH ou sont Haut Potentiel. Ils ont tous un point commun : une hyperémotivité !

Ce sont de véritables éponges. Ils ressentent votre propre émotion comme si c’était la leur et de manière exacerbée.



Ils comprennent de façon intuitive. A l'école, ils ont les solutions mais ne savent pas forcément comment ils font pour y arriver. Classiquement, ils évitent la casse en primaire, mais les choses se gâtent au collège et au lycée quand il leur est demander d'argumenter.

Bref, l'école n'est pas très simple pour eux... Ils ne s'y retrouvent pas, ils n'y trouvent pas le sens qui leur est primordial, indispensable, pour avancer... Ils s'ennuient...



Ces enfants vous les connaissez, ils sont partout autour de vous.



Voici la bande-annonce du film documentaire : "Hypersensible, une génération émergente" qui parle de ces enfants et adolescents... ces enfants que je rencontre dans mes suivis, qui viennent me voir pour me demander de l'aide. Ils aiment apprendre, mais sont finalement dégouter de l'école qui ne fait plus sens pour eux. Cela est également très difficilement vécu par le reste de la famille.

https://www.lemonde.fr/campus/article/2019/04/19/cette-generation-de-jeunes-ressent-la-finitude-du-monde_5452464_4401467.html


Nés au tournant des années 2000, ces jeunes ont connu la jonction des crises économiques et environnementales, et portent un rapport au temps particulier : ils ressentent fortement la finitude du monde. Ils ont grandi dans une forme d’incertitude radicale. J’ai pu voir monter et se diffuser, au fil de mes recherches sur la colère sociale, ce sentiment d’urgence vis-à-vis des questions écologiques. En 2012, la colère des jeunes diplômés était principalement structurée par les thématiques sociales et économiques. Aujourd’hui, le malaise est plus existentiel, plus global. Il porte davantage sur la question de la marche du monde et de l’humanité menacée.

Cela va de pair avec un rapport plus concret et radical au politique : ces jeunes générations ont davantage confiance en leurs capacités de changement social que leurs aînés, notamment parce qu’ils ne considèrent pas n’avoir plus rien à attendre. En 1968, Margaret Mead, dans son ouvrage Le Fossé des générations, annonçait une inversion de la transmission entre générations : au lieu d’être descendante – des parents vers les enfants –, cette transmission pouvait devenir ascendante. C’est cette forme d’inversion générationnelle qui est à l’œuvre aujourd’hui sur les questions climatiques et environnementales.

Article réservé à nos abonnés Lire aussi « Une perte de sens totale » : le malaise grandissant des jeunes ingénieurs face au climat
Comment comprendre cette colère envers la classe politique et le monde économique ?
C’est un point intéressant : on n’y retrouve pas, ou peu, de jeunes issus de territoires périphériques ou de jeunes issus des milieux plus populaires. C’est une colère des « inclus », ce qui ne veut pas dire pour autant que les autres ne sont pas sensibles à ces questionnements, mais leur colère se structure davantage sur l’injustice sociale. Dans le mouvement sur le climat, c’est le thème de l’injustice générationnelle qui domine, et on retrouve, dans nombre de slogans, la dénonciation d’un passé qui grève le futur, le refus d’un héritage marqué à la fois par la dette et le doute. Il ne faut pas opposer par exemple le mouvement des « gilets jaunes » et ce mouvement sur le climat : même s’ils diffèrent fortement, ce sont deux formes de critique systémique, l’une marquée par des questions de survie individuelle et de justice sociale, et l’autre de survie collective et de justice générationnelle.

https://www.nouvelobs.com/edito/20191004.OBS19301/le-nouveau-conflit-des-generations.html


EDITO. L’accusation de non-assistance à planète en danger passe mal chez certains aînés de Greta Thunberg… Mais ce n’est pas là le seul grief adressé, ces derniers temps, à la génération dorée des Trente Glorieuses.
Par Sylvain Courage

Publié le 04 octobre 2019 à 07h00

« Venez mères et pères de tout le pays/Et ne critiquez pas ce que vous ne pouvez pas comprendre/Vos fils et vos filles échappent à votre autorité/Car les temps sont en train de changer. » Ainsi chantait Bob Dylan en 1964 : « The Times They are a-Changin’», l’hymne d’une génération qui contestait l’ordre établi par ses parents et entendait suivre les nouveaux chemins de la liberté. C’était le bon temps du « conflit des générations ». Les baby-boomers se lançaient à l’assaut du vieux monde et défiaient les croulants qui le dominaient…

Un demi-siècle plus tard, les temps ont changé. Et les classes nombreuses des Trente Glorieuses sont à leur tour mises sur la sellette par les bébés du XXIe siècle. « Comment osez-vous ? Vous avez volé mes rêves et mon enfance avec vos paroles creuses ! », s’est exclamée Greta Thunberg, 16 ans, nouvelle icône de la lutte contre le réchauffement climatique, à la tribune des Nations unies, le 23 septembre. « Ma génération devra aspirer des milliards de tonnes de votre CO2. »


Mais pourquoi détestent-ils tant Greta Thunberg ?
L’accusation de non-assistance à planète en danger passe mal – c’est le moins que l’on puisse dire – chez certains aînés de la pythie suédoise… Mais ce n’est pas là le seul grief adressé, ces derniers temps, à la génération dorée des Trente Glorieuses qui a pu jouir de la croissance, accumuler du patrimoine et profiter de l’allongement de la durée de la vie. Jusque dans ses mœurs, elle est attaquée. Qu’a-t-elle fait de l’égalité entre les sexes ? A bien des égards, le mouvement #Metoo revient à contester une « libération sexuelle » au profit des mâles dominants sacralisée depuis les années 1960. Consommateurs invétérés, les soixante-huitards sont pointés du doigt pour leur individualisme justifié par un libéralisme triomphant. Plus grave encore aux yeux des enfants de ce millénaire : leur prospérité évanescente produit son lot d’exclus. Et les premières victimes de leur système demeurent les anciens « colonisés »…

Les baby-boomers ont-ils trahi leurs idéaux ?
Ce procès historique peut paraître paradoxal. Car la lutte pour l’égalité, la contestation du patriarcat et la critique de la société de consommation furent au cœur de la contre-culture des sixties. Alors que s’est-il passé ? Les baby-boomers ont-ils cyniquement trahi leurs idéaux ? Accusation simpliste qui fait fi de l’émancipation et des acquis de ces cinquante dernières années. La génération du baby-boom n’a pas à rougir de son bilan. Et les combats qui ont pu être les siens demeurent plus que jamais d’actualité.

A y regarder de près, le nouveau choc des générations tient surtout à une différence de psychologie collective. Enfants de la paix, les baby-boomers se sont comportés comme des idéalistes convaincus que le progrès triompherait de la tragédie. Le vieux monde ne pouvait qu’être derrière eux : ils couraient dans le sens de l’Histoire. Devenus « papy-boomers », ils constituent cette génération optimiste à laquelle s’oppose désormais une jeunesse née pour constater les dégâts et sonner le tocsin.

Que pensez-vous vraiment de Greta Thunberg ? Notre « thunbergomètre » vous répond
« Peace and love » ? Tu parles ! Face à l’extinction des espèces, au désastre de la pollution et au péril climatique, les millennials ne rêvent plus de révolution. Ils cauchemardent sur l’effondrement. Et s’en remettent au rapport du Giec plutôt qu’au « Petit Livre rouge ». S’ils veulent changer de système, ce n’est plus pour connaître des « lendemains qui chantent » mais pour vivre des lendemains tout court. On leur reproche leur pessimisme glaçant. Ils se veulent réalistes. Déjà leur défiance à l’égard du progrès rend caduque la querelle pluriséculaire des Anciens et des Modernes. Ce bouleversement ne fait que commencer. « The times they are a changin’», peut continuer de chanter l’inusable Dylan.

Je suis assez d'accord avec cette analyse...
Notre génération est celle d'avant ont exploité les ressources à fond la caisse sans trop se soucier de l'environnement. Donc, juste après guerre, et plus particulièrement avec les années 60 à 90 et l'ère industrielle, atomique. Pour moi c'est évident, ce qui ne signifie pas que nous devions culpabiliser ! Ce n'est pas dirigé contre l'individu, mais une société, certaines logiques économiques qui ont mis à mal les ressources disponibles.

Pour autant ces générations et plus particulièrement celles qui viennent ont pris conscience du problème, et tentent de réagir. Pour moi le déni est plutôt chez les grands dirigeants, les états qui cherchent à continuer de ponctionner la nature sans vouloir assumer les manques. Des visons à très court terme qui pourraient coûter très cher. En cela je suis entièrement d'accord avec cette jeune Greta, elle dit quelque chose de censé, qui pointe la passivité de certains états devant l'exploitation anarchique et déraisonnable des ressources.

Et pour moi les jeunes générations actuelles ont tout simplement été nourries au catastrophisme de cette prise de conscience, qui les a rendu anxieux (d'une certaine manière) face à ces enjeux. Et tant mieux ! Car ce sont eux qui géreront la société humaine de demain, c'est comme si on leur avait dit :"L'avenir de l'humanité est entre vos mains !", et qu'on leur avait demandé (plus ou moins consciemment) de l'intégrer.

Je crois que ce n'est pas tellement un conflit de générations, car la conscience du besoin de mieux se comporter par rapport à l'environnement est présent dans toutes les classes d'age, mais pas dans toutes les classes sociales ! Ceux qui en profitent ont bien l'intention de continuer, et c'est là qu'est le problème...

J'ai comme l'impression que c'est effectivement LE problème Loba ! La cupidité et les enjeux économiques, entres autres...

Je suis tout à fait d'accord avec tout ce que vous dites ! la prise de conscience que notre planète est en danger. Même si Greta est manipulée elle a l'avantage d'être crédible aux yeux de sa génération et on va leur laisser un sacré héritage aux jeunes générations !

Oui, en tous cas c'est une voix qui porte, je pense que beaucoup de jeunes de sa génération (parmi d'autres) doivent s'identifier à elle et à ses propos. C'est comme si elle incarnait toute une génération "lucide" sur le devenir de la biosphère et de l'humanité...
Personnellement je trouve que ce qu'elle dit est très censé et qu'elle a raison de le dire ainsi !

https://letudiantlibre.fr/politique/greta-thunberg-porte-parole-de-lextreme-gauche-internationale/

Il y a quelques jours, l’activiste de 16 ans Greta Thunberg a co-signé une tribune dans laquelle les signataires et elle-même reviennent sur le changement climatique, en affirmant que celui-ci « est lié au patriarcat raciste, colonial et oppressif » qu’il serait ainsi nécessaire de démanteler.

Dans l’homélie de la mère Greta, on observe ainsi une évolution majeure : le passage de la défense des coquelicots à la volonté de détruire l’homme blanc hétérosexuel cis-genre et chrétien qui serait responsable de tous les maux de la Terre.

Comme chacun le sait, le phénomène Greta Thunberg est notamment financé par Aileen Getty (riche héritière de la compagnie pétrolière Getty Oil Company) ainsi que de riches mécènes et philanthropes. La militante est également adoubée par de grandes figures politiques tel que l’ancien président Barack Obama.

Mais derrière la personnalité en elle-même, il existe un organigramme beaucoup plus complexe qu’il convient de mettre en lumière. Thunberg fait en réalité partie d’une sphère très organisée qui sévit dans le monde depuis quelques décennies : celle de l’extrême gauche internationale.

Dans cet organigramme, on retrouve des porte-paroles comme Greta, des groupes d’action rebelles comme « Extinction Rebellion », et en parallèle des groupes factieux, informels et « autonomes » comme l’Action antifasciste.

Vraiment autonomes ? Il suffit de soulever la pierre pour voir toute la vermine qui grouille dessous. Par exemple, les « Jusos » du SPD allemand (officine semblable aux jeunesses socialistes en France) financent des actions « antifas » en s’adressant à des officines très bien organisées : Antifa Reisen (pour les déplacements en bus), Antifa Gmbh (pour la publication des actions) et Antifa Catering (pour l’approvisionnement en nourriture). Toutes ces officines seraient également financées par le philanthrope très controversé George Soros (financier milliardaire américain) et sa fondation Open Society Institute, récemment renommée Open Society Foundations. L’Action antifasciste est une pègre industrielle, en quelque sorte.

Ces accointances délétères ne seront jamais révélées par le système médiatique. Pourtant, il y a bien une connivence logique entre les élites mondialistes et l’extrême gauche internationale. Cette connivence – illustrée par la figure de Greta Thunberg – n’est pas nécessairement idéologique (quoiqu’on pourrait fortement en douter), mais existe parce que ces deux sphères ont des intérêts convergents et que l’une arrive à s’établir grâce à l’autre. C’est l’alliance entre la peste et le choléra, comme lors du pacte germano-soviétique de 1939 à 1941, mais qui va certainement durer bien plus longtemps : certainement jusqu’au moment où les peuples seront étouffés, écrasés et remplacés et que les nations seront définitivement effacées. En effet, les milices (anti)fascistes, dont se réclame également Greta Thunberg, sont devenues le nouveau bras armé des élites mafieuses aux dents longues, véhiculant par des modes d’action violents l’idéologie libérale-libertaire et anarcho-capitaliste, et désormais l’écologie trotskyste.

L’erreur commise par une partie de la droite française et européenne est donc de considérer Greta comme une simple militante influencée par son milieu familial ou comme le porte-voix d’un simple effet de mode que les médias dominants continueraient à alimenter par pur besoin d’augmenter leur audience. En réalité, cette fille s’inscrit au sein d’un courant idéologique qui existe et agit uniquement dans le but d’assurer le fonctionnement et la durabilité du rouleau compresseur mondialiste et de la finance internationale qui écrasent les frontières, premier outil de protection des nations souveraines. Comme bon nombre de mouvements et de partis « écologistes », elle prône le retour à l’âge de pierre, l’application d’une écologie politique et collectiviste ainsi que l’ouverture totale des frontières (pierre angulaire de la pensée néo-totalitaire contre laquelle nul ne peut résister).

Voilà pourquoi le phénomène doit être pris au sérieux. Voilà pourquoi Thunberg n’est pas uniquement cette fillette handicapée qui doit retourner au plus vite au lycée. Lorsque Greta Thunberg prend la parole devant le monde entier et ses dirigeants, c’est avant tout pour diffuser l’idéologie de groupes puissants financés par des personnalités encore plus puissantes qui mettront tous les moyens à leur disposition pour réaliser leurs sombres objectifs. Après les gouvernements européens, c’est maintenant la jeunesse européenne qui est salie, corrompue et embrigadée à coup de dollars repeints en rouge.

Germain K.

Il est très orienté, cet article...

Oui ! je suis en accord avec ce qui est dit !

Il y a eu des gens plus sérieux depuis des décennies qui ont pris la parole au sujet du climat, de l'écologie !

Moi je ne suis pas d'accord avec ce qui est écrit, c'est plutôt du complotisme, il n'y a rien d'objectif, et beaucoup de supposition, voire d'extrapolation.
Le fait qu'il y ait des personnes plus"sérieuses" qui en ait parlé aussi, ça ne veut pas dire que Greta Thunberg doive se taire, chacun parle comme il veut, même si d'autres personnes plus  sérieuses en ont parlé avant.


De là à échafauder toutes ces interactions politiques sans aucune preuve, il y a quand même un fossé. Cet article est la pensée d'une seule personne, et il faudrait d'abord savoir qui est ce Germain K...
Il a le droit de l'exprimer, mais ce n'est pas prudent d'en faire une vérité, ni une généralité avec si peu d'arguments objectifs.

Ceci dit je n'ai pas spécialement d’affinité avec elle, elle ne m'emballe ni me rebute.

C'est juste Loba, après tout rien ne nous oblige à adhérer à ces propos, leur crédibilité n'est effectivement pas évidente du tout. C'est assez tarabiscoté et ça sent un peu le complotisme de base selon moi.

Quoi qu'il en soit Greta Thunberg ne laisse pas indifférent, et c'est un euphémisme ! Elle est un peu la Jeanne d'Arc de l'écologie du XXIe siècle, si je puis dire. Disons qu'à mon avis les jeunes qui s'identifient à elle doivent être fort nombreux, elle incarne vraiment la prise de conscience massive des problèmes environnementaux qui nous concernent de très près. Les jeunes et les moins jeunes d'ailleurs.

Le fait est qu'elle a du charisme, et que ses discours sont forts, c'est d'autant plus impactant que c'est médiatisé. Il est normal que le contenu de ses propos génère des polémiques, on touche ici à un sujet de la plus grande importance, et dont chacun connaît les enjeux, au moins dans les grandes lignes.

Son discours n'est que la reproduction d'un texte de la fille de Suzuki ! des années 1990 ! pourquoi cette nouvelle génération entend elle ce discours alors que dans les années passées tout le monde ou presque s'en foutait ! ils sont plus intelligents ? plus sensibles ? plus manipulables ? plus informés ? Les problèmes sont les mêmes ! plus amplifiés ?

Les problèmes ne sont pas du tout les mêmes que dans les années 90, il sont bien plus évident. La prise de conscience est progressive, au fur et à mesure que les catastrophes climatiques apparaissent (les tornades qui sont bien plus fréquentes q'il y a 20 ou 30 ans par exemple), que la pollution se développe de plus en plus, que les canicules arrivent de plus en plus fréquemment. Ca tout le monde le constate au quotidien, et il faut vraiment être de mauvaise foi pour nier qu'il y a un changement.

Après, oui grâce à internet, on est plus informés, mais cela ne concerne pas que la jeune génération. Toutes les générations sont concernées par la prise de conscience climatique.

colombine a écrit:Son discours n'est que la reproduction d'un texte de la fille de Suzuki ! des années 1990 ! pourquoi cette nouvelle génération entend elle ce discours alors que dans les années passées tout le monde ou presque s'en foutait !  ils sont plus intelligents ? plus sensibles ?  plus manipulables ? plus informés ? Les problèmes sont les mêmes ! plus amplifiés ?

Je ne connaissais pas ce texte colombine, dans les années 1990 les problèmes commençaient déjà à être importants, et d'ailleurs nous pourrions même remonter bien plus loin ! Je me souviens de ces spots écologiques (ou écocitoyen, oui déjà !) qui passaient dans les années 70 et qui dénonçaient les comportements préjudiciables à l'environnement. La marée noire de 1978 a également été un grand déclencheur, pour la première fois (que je sache) les gens voyaient comment l'environnement pouvait être profondément impacté et menacé.

Oui Loba, avec peut-être une différence générationnelle au niveau de la découverte de tels problèmes. Pour les plus jeunes c'est "leur" milieu natal, tous ces enjeux sont évidents, pour nous et les plus âgés c'est presque une découverte, ou c'est une découverte partielle, enfin peut-être plus pour les personnes âgées qui vécu cette grande transition industrielle de la première moitié du XXe siècle.

Mais c'est vrai que tout le monde a plus ou moins conscience de ce qui se passe, à moins d'être dans une sorte de déni ou de jemenfoutisme affiché... Force est de constater que beaucoup de gens privilégient leurs intérêts avant ceux de l'environnement.

Il est clair que cette pauvre fille est manipulée  
par qui par quoi  ?    aucune idée  !

perso je m'en fiche
car   si ses discours et ses actions   poussent les gens  à :
- moins consommer, à moins jeter  à moins manger de viande voire plus du tout  !
- à respecter les animaux  la Nature
-  à arrêter de se croire le centre du monde  et que notre pseudo intelligence  nous permet de foutre en l'air  
alors oui   je suis ravie !  


je n'irais pas jusqu'à dire comme elle :
" je veux que vous paniquiez !"
mais  si cela peut  enfin  faire en sorte   que les humains ( les mal nommés  ) arrêtent  de se prendre  pour des dieux  ça ça serait déjà pas mal !!

cela dit .. il y a toujours un loup qq part :


Il est sûr   qu'un jour    certains penseront même  comme cet affreux J.Attali  :




 Si limiter drastiquement les naissances   ( la démographie galopante  est la 1º des pollutions )   est une chose  - là je suis d'accord!
en arriver à tuer des personnes  nées ...  

ça ça ressemble  à des horreurs ..dont on a vu déjà qqs prémices  

derrière   tout ce  vacarme  possible que  l' écologie   soit  récupérée
à des desseins qui ne soient pas par amour pour la planète !!


 il se peut bien qu'on nous amène   un jour à penser  
que oui certains ( vieux , inutiles handicapés  etc..) doivent disparaître  pour ne garder que les   soumis  et productifs ...au profit d'autres.

Il y aura là un tournant à prendre  :
=) vers une  véritable écologie pour tous  

ou

=) vers une  écologie pour une minorité possédante  qui tient à vivre bien ??

???

Je ne sais pas si elle vraiment manipulée Elia, et si le cas, par qui ? Cela me semble peu probable. En revanche que des gens y trouvent un intérêt c'est fort possible...

Je pense qu'elle est très sincère, elle n'a que 17 ans, certes ce n'est plus une enfant, mais son recul sur le monde est encore assez réduit. Je trouve qu'elle réagit de façon épidermique, même si ses discours sont censés et cohérents. Sa personnalité s'affirme clairement dans les médias. Cette génération est "lucide", beaucoup plus que je ne pouvais l'être au même âge !
Moi c'était les chansons et râler !


Non mais blague à part, c'est l'âge des réseaux sociaux, des échanges d'informations à grande vitesse, aujourd'hui nul ne peut occulter les grands enjeux environnementaux, et surtout pas les jeunes.

Quel personnage public qui véhicule un message n'est pas "manipulé" ? Qu'est-ce qu'on entend par manipulé ?
Pour ne pas être manipulé, il faudrait être seul au monde, c'est impossible. A partir du moment où on est entouré, et c'est le cas de tout le monde, il y a forcément une influence de l'entourage.
Là il y a la polémique que son père lui écrit ses discours, mais enfin, c'est bien normal, mon père corrigeait aussi mes devoirs quand j'étais au lycée !
A partir du moment où on a une certaine notoriété, le planning devient serré et il faut se faire aider et soutenir. Est-ce que les hommes politiques écrivent tous eux-même leurs discours ?

Comme d'hab, les gens se focalisent sur le paraître, alors que ça n'a aucune importance. Mais c'est tellement plus facile ...

Exactement ce que disait mon voisin et ami dom ce matin en buvant le café avec moi !!! et depuis toujours ! tout le monde manipule et se fait manipuler ! le gouvernement nous amène là où il veut et les médias permettent cela !
Attali est il visionnaire de tout ce futur qu'on nous promet ou le fait il arriver !
Je regardais hier un doc sur "le train" un film que j'ai vu et ces gens (des juifs) que l'on a enfermé dans des wagons et promené jusqu'à ce que mort s'en suive sur des voies en boucle ! sans eau ! sans air ! tout cela pour une idéologie ! on criait "ce sont eux qui ont tué le christ" !  
Les vieux deviendront ils pour les jeunes ces populations indésirables  a exterminer ! c'est là que je voulais en venir avec ce topic !

colombine a écrit:Exactement ce que disait mon voisin et ami dom ce matin en buvant le café avec moi !!! et depuis toujours ! tout le monde manipule et se fait manipuler ! le gouvernement nous amène là où il veut et les médias permettent cela !
Attali est il visionnaire de tout ce futur qu'on nous promet ou le fait il arriver !
Je regardais hier un doc sur "le train" un film que j'ai vu et ces gens (des juifs) que l'on a enfermé dans des wagons et promené jusqu'à ce que mort s'en suive sur des voies en boucle ! sans eau ! sans air ! tout cela pour une idéologie ! on criait "ce sont eux qui ont tué le christ" !  
Les vieux deviendront ils pour les jeunes ces populations indésirables  a exterminer ! c'est là que je voulais en venir avec ce topic !

Tous les films sur cette période désastreuse sont tristes! comment des humains ont pu agir ainsi?

Des peuples stigmatisés !

Cela fait déjà quelques temps que j'essaie de comprendre, de nombreuses lectures m'ont parues pertinentes mais elles s'avèrent souvent ardues (pour moi en tous cas). C'est que la chose est complexe ! Cela concerne aussi bien la société entière que l'individu, ainsi que d'autres facteurs comme l'économie ou la culture...

En tous cas c'est particulièrement touchant, émouvant, cela m'a toujours beaucoup peiné. Comprendre devenait pour moi une façon de dépasser quelque chose, de mettre des mots sur l'indicible, l'incompréhensible, l'atroce. Et peut-on l'éviter ? Aurait-on pu l'éviter jadis ? Ce sont des questions qui appellent des réponses utiles, utiles pour l'avenir et pour la réflexion.