La dépression..

La dépression est une maladie reconnue depuis peu comme tel.
Mais est-ce qu'on peut la soigner ?
Je propose d'en parler ici et sait-on jamais, peut-être trouver des solutions

Je ne suis moi même pas dépressive, mais j'y suis passée tout près. J'ai eu beaucoup de changements dans ma vie, et le dernier m'a presque anéantie.
Et c'est là ou j'ai commencée à m'inscrire sur divers forums et j'ai pu me faire ainsi un petit cercle d'ami(e)s. Et je pense que c'est ça qui m'a sauvée. Je dois dire que j'ai eu beaucoup de chance d'avoir trouvée des personnes sincères.

On peux guérir de certains maladies, s'ils sont soignés à temps.
Et surtout, ce que je trouve important, il faut trouver la source, la raison.
Je trouve également que le dialogue est très important si on veut s'en sortir de ce cercle infernal

Fidèle compagne de longue date, elle est la seule qui ne me quittera jamais. Je m’endors avec elle et elle est là à mon réveil. La dépression fait partie de ma vie. Amis lecteurs, bienvenue dans le club des dépressifs anonymes. Je me présenterai plus tard car pour l’instant, je suis trop déprimé pour en parler.

je suis passée de spectatrice de la dépression grave de mon père   à la mienne   je ne sais pas trop vers quel  âge ...
10 ans ?  15 ans ?  
A 10 ans j'écrivais déjà des poèmes  plein de tristesse et de dégoût  de la vie

je traîne ça depuis ...  

mon père ne s'est pas fait soigner -il n'existait pas d'antidépresseurs  à cette époque et il refusait les psy -ce fut long pour comprendre qu'il était malade

je traîne la dépression   en sachant qu'une part vient sûrement  du génétique ,
une autre de mon éducation
 et une autre de mes échecs ..mes difficultés à accepter les autres

en 1992   quand j'ai pris des anti dep pour la 1º fois  ce fut une renaissance
depuis j'en prends   en essayant selon les périodes de baisser   lentement    ..
j'ai même eu une période sans   après avoir mis 2 ans pour passer de 1/2  par jour à des miettes une fois par semaine
après un pataqués ( ds mon boulot  )  m'a obligée à en reprendre en 2011

là je re baisse  : 1/4   tous les 2 jours  ..mais je sens que je ne dois pas baisser trop vite

cela se traduit par une incapacité à être bien
 des insomnies  une difficulté à m'endormir
quand j'éteins la lumière le soir..tous les dossiers noirs ressortent -
le matin aussi c'est dur

mais je suis plus cynique , aigrie que pessimiste  

le livre " Le Loup des steppes " m'a bcp aidée  à voir
  avec sarcasme la vie,  plus qu'avec pessimisme

je travaille avec une psychologue PNL depuis 10 ans  
là je n'y vais qu'une fois par mois vider mon sac
elle m'a aidée énormément   !  
j'ai payé 55 €  de ma poche mais c'est le meilleur investissement que j'ai fait ds ma vie
sans elle  je pense que je ne serais plus là
Mon chien , la Nature  m'aident aussi bcp

Merci pour ton témoignage, Elia.
ça m'aide de pouvoir me reconnaître un peu.
Je traîne depuis longtemps ma mélancolie.
Je me dis souvent que si je tombais malade, ce serait une bonne chose car ça me rapprocherait de tous mes proches qui sont déjà partis.
En raison de mes croyances, le suicide n'est pas une option.
Je suis cynique, amer, aigri (Oui, les 2 à la fois, ce qui donne un goût pas terrible), défaitiste et pessimiste.
Se lever le matin sans aucune raison de vivre.
Indifférence à tout.
Peur du noir. Je n'éteins l'ordinateur que lorsque mess yeux se ferment tous seuls.

Voilà en vrac mes états d'âme...

nous sommes plusieurs à avoir connue cette maladie, ma première dépression date de 1999, j'ai déja essayé plusieurs fois d'arreter mes anti dépresseurs, et à chaques fois au premier pet de travers, je retombais, depuis je prend un cachet un jour et un demi l'autre jour, mais je ne les arreterais plus jamais, ça ne m'empeche pas de vivre avec, j'ai testé les psychologues, et hypnothérapie, j'ai lu bcp de choses sur les médecines alternatives, et je travaille beaucoup sur moi, car j'avais tendance à vite voir le négatif, chaque jours qui passe, on avance, et depuis que je suis avec mon chéri, je vis dans la sérénité avec lui, moi qui ne pensait jamais trouver la bonne personne

on est contents pour toi Norma si ça va mieux alors ce ne'st pas de la dépression de fond mais c'e´tait le fait de ne aps avoir trouvé une relation qui aille

si maintenant tu es sereine ce n'e´tait donc pas de la maladie réellement jsute une grande sensibilité et un besoin de paix

perso je crois que même si je suis mariée je ne trouverai jamais la bonne personne
C'est un état d'esprit , une lucidité sur l'absurdité du monde, l'incapacité à être en paix

je n'ai pas demandé à vivre en tous cas .. je n'aime pas les personnes qui te disent
que si tu as demandé c'est pour ça que tu es au monde


pour moi la vie n'est pas un cadeau , une épreuve ça oui !
j'espère qu'une fois de l'autre côté j'aurai l'explication

même pas pour le sens de mes épreuves !! mais au moins du pourquoi des enfants , des innocents, des animaux souffrent de la cruauté
ah oui et les gamins morts à Manchester au concert ? ils ont demandé de partir aussi ??

Comme toi Happy j'espère ne pas faire de vieux os
j'ai même rêvé une fois que j'étais très malade et avais qqs mois encore ; j'étais contente
bon ça va je vais pouvoir préparer ma sortie mettre les choses en ordre avant

je ne devrais pas dire ça puisque bcp de gens veulent vivre mais si je respecte leur vision j'attends qu'on respecte la mienne

je epnse qu'il y a qq chose d eplsu grand que nous .. je le souhaite

et si on reste c'est qu'on a encore un rôle qq part ..à jouer

Happy67 a écrit:
En raison de mes croyances, le suicide n'est pas une option.

J'ai failli passer à l'acte une fois  ( croyances ou pas il y a un moment où tu fonces vers la mort comme le noyé cherche l'oxygène tu es submergé !)
.. tout était prêt  et on ne risquais pas de me sauver  
et bien j'ai été  sauvée quand même
de façon que je dis miraculeuse   il n'y aucune autre explication
j'ai compris   que je devais rester et attendre...et que qq chose de plus grand existait

quoi?? je n'en sais rien

Elia a écrit:J'ai failli passer à l'acte une fois  ( croyances ou pas il y a un moment  où tu fonces vers la mort comme le noyé cherche l'oxygène   tu es submergé  !)
.. tout était prêt  et on ne risquais pas de me sauver  
et bien j'ai été  sauvée quand même
de façon que je dis miraculeuse   il n'y aucune autre explication
j'ai compris   que je devais rester et attendre...et que qq chose de plus grand  existait
quoi?? je n'en sais rien

T'es-tu dit que ces années de vie supplémentaires ont valu la peine d'être vécues ?

Si j'étais parti il y a 10 ans, je n'aurais pas rencontré de chouettes personnes et j'aurais manqué quelques bons moments.
J'ai survécu à ce qui pouvait m'arriver de pire, traversé des périodes de chagrin et de désespoir mais il m'arrive d'être content d'être là...

Norma a écrit:... à chaque fois au premier pet de travers, je retombais...

Moi, au premier pet, j'ouvre la fenêtre.
Non, pour aérer, pas pour sauter !
OK, OK, je sors. Par la porte, pas par la fenêtre.

Elia a écrit:  on est contents pour toi Norma   si ça va mieux  alors ce ne'st pas de la dépression de fond  mais c'e´tait le fait  de ne aps avoir trouvé   une relation qui aille

si maintenant tu es sereine    ce n'e´tait  donc pas de la maladie   réellement   jsute une grande sensibilité   et un besoin de paix

perso je crois que  même si je suis mariée   je ne trouverai jamais la bonne personne
C'est un état d'esprit , une lucidité sur l'absurdité du monde, l'incapacité à être en paix

je n'ai pas demandé à vivre   en tous cas   .. je n'aime pas les  personnes qui te disent
que si tu as demandé  c'est pour ça que tu es au monde


pour moi la vie n'est pas un cadeau , une épreuve    ça oui !
j'espère qu'une fois de l'autre côté j'aurai l'explication

même pas pour  le sens de mes épreuves  !! mais au moins du pourquoi des enfants , des innocents, des animaux   souffrent de la cruauté
ah oui et les gamins   morts à Manchester  au concert ? ils ont demandé de partir aussi ??

Comme toi Happy    j'espère  ne pas faire de vieux os
j'ai même rêvé une fois  que j'étais très malade   et avais qqs mois   encore ; j'étais contente
bon ça va je vais pouvoir préparer ma sortie   mettre les choses en ordre  avant

je ne devrais pas dire ça  puisque bcp de gens veulent vivre mais  si je respecte leur vision  j'attends qu'on respecte la mienne

je epnse qu'il y a qq chose d eplsu grand que nous .. je le souhaite  

et si on reste c'est qu'on a encore un rôle qq part ..à jouer

merci Elia, je reste néanmoins fragile, car une dépression fragilise malgré tout, en tout cas moi je suis contente d'avoir une sacré équipe sur le fofo, vous etes tous formidable, et meme si on est peu, je préfère la qualité à la quantité

ah ça pour la qualité elle est là ! moi aussi je préfère la qualité à la quantité

c'est pour ça que je reste malgré le peu de mouvement

je me suis attachée à vous

elia

Il ne faut pas non plus tout le temps tirer à boulets rouges sur la dépression elle nous signale que nous ne sommes pas en adéquation entre notre vie et notre désir intérieur
d'où l'importance d'aller consulter :
faire le tri sortir ce qui ne va pas et chercher des solutions

Il ne faut pas attendre car la dépression est trop installer on n'a même pas la force d'aller consulter !

Notre société veut gommer tout ce qui ne va pas lors d'une rupture, deuil , colère ..ces émotions sont normales
elles nous enseignent ce que nous sommes et font partie de la vie .On dirait que tout va ds le sens de faire de nous des robots : physiquement avec remplacement des pièces de l'organisme , réactions grégaires identiques .. je trouve cela très inquiétant !

les anti dépresseurs gomment les émotions négatives mais - du moins chez moi - ça gomme aussi les positives : je n'ai plus de goût à écouter la musique par exemple ou voir une expo

la musique devient un simple bruit : pas d'émotion
c'est triste ..

reste positive et travaille dessus

Je suis absolument d'accord avec toi Elia ! D'ailleurs je comptais publier quelque chose d'approchant...


Ce que tu évoques est d'une importance capitale, et je trouve que tu as raison. Il est essentiel de bien distinguer ce qui relève de la réaction psychologique normale et ce qui relève de la pathologie, tout est là. Ce que tu dis à propos de notre société et de sa manière d'appréhender les troubles est intéressant, de mon côté j'ai beaucoup lu, je me suis documenté, et nombre de psys soutiennent cela; ils tirent la sonnette d'alarme en précisant qu'il s'agit de ne pas tout psychologiser, tout médicaliser.

D'ailleurs eux-mêmes passent du temps à expliquer qu'il ne faut jamais confondre déprime et dépression.

tout à fait la déprime et la dépression sont 2 choses différentes

l'une est un état passage naturel - une réaction émotionnelle nécessaire
l'autre est une maladie

confondre les 2 est grave
ça conduit à prendre des médocs inutilement ds le 1º cas
et à culpabiliser la personne qui réagit finalement normalement
mais j'irais plus loin :
ça arrange aussi l'entourage de droguer la personne qui ne va pas bien
par exemple
ne pas à avoir à aider qq'un qui vit mal un deuil , une rupture etc..

faut être gai sympa , opérationnel au boulot et surtout pas de vagues ne poser aucun problème
à personne - on a pas le temps

drôle de société !!

Je pense que la dépression, comme de nombreux troubles psychiques, fait peur, elle effraie au point de provoquer nombre de comportements... Et là le rôle des "autres" est primordial. L'entourage doit faire preuve d'un minimum de psychologie et d'ouverture pour aider la personne, et souvent les proches font l'inverse de ce qu'il faudrait faire (en voulant bien faire aussi !) !
Par exemple dire à une personne dépressive : tu devrais te bouger- tu devrais faire ceci ou cela... Ce n'est pas ce que la personne attend. Elle a besoin de reprendre confiance en elle, de retrouver un sens à sa vie, et la soutenir dans sa douleur c'est aussi simplement lui montrer qu'on l'écoute, qu'on est présent... L'affectif n'est pas que mots, il est présence, il est confiance, humanité.

Elia a écrit:... faut être gai sympa , opérationnel  au boulot et   surtout pas de vagues   ne poser aucun problème
à personne  - on a pas le temps
drôle de société  !!

La rentabilité, la compétitivité. Dans mon service, les gens stressent, s'usent la santé sur des tâches qui n'ont pas de sens. Tout est vain. On reste dans un bureau à regarder s'éloigner sa vraie vie. Des fourmis dans la fourmilière...

Comme je vous l'ai déjà confié, je n'ai pas de famille et très peu d'amis.
Je n'ai personne à protéger donc aucune raison de vivre.
Complexé par un physique ingrat et une culture au ras des pâquerettes, handicapé par une incapacité à entrer en interaction avec des humains, je suis un bel exemple du pauvre type anonyme et invisible.
Un terrain propice pour une dépression sévère. Je pourrais pleurer sur mon sort et sévir sur tous les forums en faisant mon Calimero et en déversant ma rancœur sur le monde entier.
Que je me suicide ou non, l'univers s'en moque.
J'ai le choix entre rester assis et attendre la mort ou me lever et améliorer ma vie un petit peu chaque jour.
J'ai décidé de me bouger et de faire tout ce qui me plaît, peu importe l'image que les gens perçoivent de moi ou ce qu'ils pensent.
Chaque fois que je passe un bon moment, c'est une petite victoire sur la vie.
N'importe où, n'importe quand, je pourrais me prendre un coup de couteau ou passer sous un camion.
On peut m'ôter la vie mais pas les bons moments que j'ai passés.
J'ai peur de mourir mais j'ai encore plus peur de ne pas avoir vécu.
Je ne vais pas me mentir. Ma dépression sera toujours là.
A moi de décider si je la laisse contrôler ma vie ou non.

quel beau texte à lire ! voilà une belle analyse lucide et encourageante

tu dis que tu as un physique ingrat .. je ne sais pas -
mas je peux te dire qu'en vieillissant tout le monde a un physique ingrat .. donc à un moment donné tout le monde est pareil

tu auras donc - si c'est le cas- la possibilité de te sentir comme les autres et donc plus à l'aise ..

J'ai peur de mourir mais j'ai encore plus peur de ne pas avoir vécu.

oui c'est une bonne vision des choses ..

faut mieux avoir des remords d'avoir raté plein de choses que rien pas de sentiments envers son passé

J'ai décidé de me bouger et de faire tout ce qui me plaît, peu importe l'image que les gens perçoivent de moi ou ce qu'ils pensent.


de toute manière tout le monde critique tout le monde

Tu sais la jalousie aussi des fois est difficile à supporter quand tu as un physique bien ou/et réussi ta vie .. les gens sont odieux !
On dirait que parce que tu as eu de meilleures choses , tu te dois d'être plus généreux , plus serviable et surtout tu n'as aucun droit de te plaindre même si tu souffres !!

On le voit quand des stars se plaignent d'un souci , d'une rupture ..les gens sont méchants

le bonheur n'existe pas juste quelques petits moments sympas et faut s'en contenter ..

On verra après

Ce midi, j'ai été arrêté dans la rue par une jolie jeune femme qui faisait la quête pour le Sidaction.
Après l'avoir écoutée, je lui ai confirmé avec aplomb que je ne me sentais pas concerné par le SIDA.
Accepter l'idée d'être une mauvaise personne délivre de toutes les inhibitions.
Plus besoin de faire semblant d'être un gars génial même auprès de quelqu'un au physique attrayant.

''Oui mais tu verras quand tu auras le SIDA !'' me direz-vous.
Et alors ? Je mourrai. ça n'aura aucune importance. Je suis déjà un fantôme.

Elia a écrit:...  mas je peux te dire qu'en vieillissant  tout le monde a un physique ingrat .. donc à un moment donné   tout le monde est pareil

C'est encore plus vrai une fois mort. Un ver, ça va, 3 vers, bonjour les dégâts !

je n'aime pas quand tu te dénigres happy, tu ne vois toujours pas la belle personne que tu es

J'ai lu tout ce sujet, plein d'émotion.

Je pense que la dépression, je ne sais pas ce que c'est. J'ai bien sur connu des hauts et des bas. J'ai traversé quelques épreuves et connu des période de gros surmenage, mais je sais que ça n'a rien à voir avec la dépression qui s'installe sans raison.

Quand à la médication, il y a un moment où j'ai du faire face à de la violence conjugale, et un divorce qui trainait dans le temps, genre bras de fer et menaces physique au quotidien. Là j'ai eu un soutien médicamenteux pendant quelques mois, ça m'a aidé.

J'ai été à un autre moment dans une situation de harcèlement professionnel, qui a aussi duré plusieurs années. Même avec la meilleure volonté du monde, on s'épuise dans un contexte de pression psychologiques comme celui que j'ai vécu. Ce n'est malheureusement pas du tout reconnu par le milieu médical, qui considère qu'on n'a qu'à faire comprendre aux gens que ce qu'il font n'est pas bien (sic) ! Comme si ça ne prenait pas assez d'énergie d'essayer de le supporter... Le doc a voulu à ce moment me faire prendre des antidépresseurs, j'ai tenté une semaine. Ca a été très étrange cette sensation d'être complétement étrangère à ses propres émotions. mais quand je me suis rendue compte que ça avait aussi pour effet de me priver de toute satisfaction sexuelle, j'ai vite tout arrêté !

J'ai donc des doutes sur toute cette chimie, même si parfois c'est une béquille utile.

Par contre, ce que je connais aussi, c'est cet afflux d'idées noires qui viennent spontanément dans un temps donné en lien avec le cycle hormonal. J'ai toujours trouvé ça bizarre et étonnant, de voir que tout d'un coup, tout était grave, triste, angoissant dans ma tête et que ça partait comme c'était venu. J'ai fini par faire comme si ça n'existait pas pour passer outre ces période. Mais bien sur le fait que c'était des périodes courtes facilitait la gestion.

En observant autour de moi, je me suis rendue compte que la meilleure solution venait des gens qui arrivent à s'en foutre, simplement.
Quand on se fiche de tous les trucs pénibles qui peuvent passer par la tête, je trouve que ça va bien mieux. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire.

Maintenant, je garde une préoccupation principale, c'est de m faire plaisir. Je pense que c'est la chose qui compte le plus, quelque soit le domaine. Que ce soit directement ou pas, tout ce que je fais doit m’amener vers quelque chose qui me fera plaisir, sinon j'évite tant que possible. Pour moi c'est une bonne base, le reste n'a pas vraiment d'importance.