Quelle est la qualité globale de l’eau du robinet en Ile-de-France ?
Premier constat : « L’eau du robinet est l’aliment le plus contrôlé », assure Nicolas Le Pen, responsable de la cellule eaux à l’Agence Régionale de la Santé (ARS) Ile-de-France. Dans le cadre de la réglementation européenne, de multiples analyses sont réalisées (voir en fin d’article). « Et de manière générale, les résultats sont conformes aux limites de qualité réglementaires, poursuit-il. Une conformité qui atteint par exemple plus de 99 % en microbiologie ». La qualité globale de l’eau est précisée sur les bilans d’analyse que nous pouvons consulter. Cette conclusion est d’ailleurs le premier élément auquel il faut prêter attention sur ces synthèses, avant de rentrer dans le détail des paramètres étudiés. Dans la grande majorité des cas, l’eau est présentée comme de bonne qualité et propre à la consommation. Certaines valeurs seuils peuvent toutefois être dépassées dans de rares cas. L’ARS alerte alors la collectivité concernée. Des actions devront être déployées en conséquence sur le terrain (recherche d’une nouvelle source en eau, adaptation des traitements, évolution des pratiques agricoles…) « Cela peut aller jusqu’à des restrictions de consommation appliquées à une partie de la population (nourrissons, jeunes enfants…), poursuit Nicolas Le Pen. Une dizaine de décisions de ce type sont recensées en Ile-de-France chaque année ».
Premier constat : « L’eau du robinet est l’aliment le plus contrôlé », assure Nicolas Le Pen, responsable de la cellule eaux à l’Agence Régionale de la Santé (ARS) Ile-de-France. Dans le cadre de la réglementation européenne, de multiples analyses sont réalisées (voir en fin d’article). « Et de manière générale, les résultats sont conformes aux limites de qualité réglementaires, poursuit-il. Une conformité qui atteint par exemple plus de 99 % en microbiologie ». La qualité globale de l’eau est précisée sur les bilans d’analyse que nous pouvons consulter. Cette conclusion est d’ailleurs le premier élément auquel il faut prêter attention sur ces synthèses, avant de rentrer dans le détail des paramètres étudiés. Dans la grande majorité des cas, l’eau est présentée comme de bonne qualité et propre à la consommation. Certaines valeurs seuils peuvent toutefois être dépassées dans de rares cas. L’ARS alerte alors la collectivité concernée. Des actions devront être déployées en conséquence sur le terrain (recherche d’une nouvelle source en eau, adaptation des traitements, évolution des pratiques agricoles…) « Cela peut aller jusqu’à des restrictions de consommation appliquées à une partie de la population (nourrissons, jeunes enfants…), poursuit Nicolas Le Pen. Une dizaine de décisions de ce type sont recensées en Ile-de-France chaque année ».
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