Dans sa petite serre, la température intérieure affiche 35 °C. Une ambiance apaisante se dégage tandis que les rayons du soleil inondent la pièce. Sur les étagères, les plantes vertes pullulent. Certaines, bien mal en point, ne demandent qu’à être sauvées. D’autres, entreposées à l’extérieur, profitent de la douceur printanière bien précoce. En attendant d’être rempotées. Et d’être bichonnées. « C’est le même principe que la SPA », sourit Nicolas Talliu.
Lundi, ce pépiniériste de 33 ans ouvrira à Lyon (au cœur de la Halle des Girondins, 7e) la première « société protectrice des végétaux ». Son credo : récupérer les plantations que les producteurs locaux s’apprêtent à jeter pour leur offrir une seconde vie et recueillir les plantes dépérissantes des particuliers.
« Il y a plusieurs possibilités. Soit, on part sur une prestation de soins et on redonne la plante à son propriétaire, une fois qu’elle a repris vie. Soit les gens veulent s’en débarrasser et la laissent ici », expose-t-il. Dans ce cas-là, les plantes, une fois requinquées, seront mises en vente. D’autres, nées de bouture, seront patiemment cultivées pour être, elles aussi, proposées à l'« adoption ». Comme un petit animal dont on prendrait soin.
Lundi, ce pépiniériste de 33 ans ouvrira à Lyon (au cœur de la Halle des Girondins, 7e) la première « société protectrice des végétaux ». Son credo : récupérer les plantations que les producteurs locaux s’apprêtent à jeter pour leur offrir une seconde vie et recueillir les plantes dépérissantes des particuliers.
« Il y a plusieurs possibilités. Soit, on part sur une prestation de soins et on redonne la plante à son propriétaire, une fois qu’elle a repris vie. Soit les gens veulent s’en débarrasser et la laissent ici », expose-t-il. Dans ce cas-là, les plantes, une fois requinquées, seront mises en vente. D’autres, nées de bouture, seront patiemment cultivées pour être, elles aussi, proposées à l'« adoption ». Comme un petit animal dont on prendrait soin.
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