Les scientifiques de l'Institut métapsychique international, à Paris, étudient la clairvoyance, la télépathie, la précognition ou encore la télékinésie. Bref, tous ces intrigants phénomènes paranormaux. Des chercheurs qui ne trouvent pas normal qu'on les prenne pour des clowns...
Et si c'était vrai ? Et si la science dure, qui se gausse du paranormal, se trompait ? Sur le chemin, on s'interroge. Le rendez-vous est fixé au mystérieux Institut métapsychique international (IMI), sis 51, rue de l'Aqueduc, dans le 10e arrondissement, à Paris. Créée en 1919, cette fondation reconnue d'utilité publique étudie les phénomènes dits « paranormaux » : clairvoyance, télépathie, précognition ou télékinésie. Doit-on rire ? Trembloter ? « Si la science délaisse ces faits, l'ignorance les prendra », prophétisait Victor Hugo. Prédiction réussie. Le paranormal se carapate en dehors des clous de l'expérience, des lois de la physique et du bon sens. Chez certains sujets, il provoque une pétoche mâtinée de fantômes, d'esprits vengeurs et de guéridons qui tournent tout seuls. Chez d'autres, c'est la défiance. Comment croire à ces horoscopes débiles, à ces médiums errant aux sorties de métro et qui n'ont pas su prévoir que la vie de médium n'était pas une sinécure ? Comment se fier aux dons extralucides d'un Paco Rabanne, qui hurla au loup en 1999, annonçant la chute de la station spatiale Mir sur Paris le 11 août, jour de l'éclipse totale du soleil ? Comment prendre au sérieux tous ces truqueurs roués qui, depuis que l'homme a appris que son voisin peut se montrer un peu truffe, vampirisent crédulité ou mal-être, et nous font croire que si Mars est en cancer, alors, oui, sans aucun doute, nous aurons des problèmes de cœur en août.
Et si c'était vrai ? Et si la science dure, qui se gausse du paranormal, se trompait ? Sur le chemin, on s'interroge. Le rendez-vous est fixé au mystérieux Institut métapsychique international (IMI), sis 51, rue de l'Aqueduc, dans le 10e arrondissement, à Paris. Créée en 1919, cette fondation reconnue d'utilité publique étudie les phénomènes dits « paranormaux » : clairvoyance, télépathie, précognition ou télékinésie. Doit-on rire ? Trembloter ? « Si la science délaisse ces faits, l'ignorance les prendra », prophétisait Victor Hugo. Prédiction réussie. Le paranormal se carapate en dehors des clous de l'expérience, des lois de la physique et du bon sens. Chez certains sujets, il provoque une pétoche mâtinée de fantômes, d'esprits vengeurs et de guéridons qui tournent tout seuls. Chez d'autres, c'est la défiance. Comment croire à ces horoscopes débiles, à ces médiums errant aux sorties de métro et qui n'ont pas su prévoir que la vie de médium n'était pas une sinécure ? Comment se fier aux dons extralucides d'un Paco Rabanne, qui hurla au loup en 1999, annonçant la chute de la station spatiale Mir sur Paris le 11 août, jour de l'éclipse totale du soleil ? Comment prendre au sérieux tous ces truqueurs roués qui, depuis que l'homme a appris que son voisin peut se montrer un peu truffe, vampirisent crédulité ou mal-être, et nous font croire que si Mars est en cancer, alors, oui, sans aucun doute, nous aurons des problèmes de cœur en août.
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