Aussitôt suspendu, aussitôt rétabli ? L'usage du vaccin AstraZeneca est arrêté depuis deux jours, en France ainsi que dans une quinzaine de pays européens, suite à des signalement de "cas inattendus d'événements thromboemboliques et de troubles de la coagulation", explique l'ASNM dans ses recommandations officielles. Il convient d'avoir à l'esprit qu'il s'agit d'une mesure de précaution car le lien entre ces cas et le vaccin AstraZeneca n'a pas été établi. Ce jeudi, l'Agence européenne du médicament rend un avis très attendu sur les effets secondaires en général et sur les cas de thromboses recensés chez les personnes vaccinées avec AstraZeneca en particulier. Cet avis rendra compte des conclusions des experts du PRAC, le comité de pharmacovigilance de l'EMA, qui ont ouvert une enquête dès les premiers signalements et qui doivent déterminer si ces cas relèvent des effets secondaires du vaccin ou non.
Jean Castex, interrogé par BFMTV ce mardi soir, a d'ores et déjà fait part de son optimisme. Le Premier ministre a dit attendre un avis "positif" de la part de l'EMA et que ainsi, la vaccination avec AstraZeneca pourrait reprendre en France. Il s'est également expliqué sur la raison de cette suspension. "Si avec le président nous n'avions pas pris la décision de [suspendre l'AstraZeneca], qu'auraient dit nos concitoyens? (...) Je veux que la vaccination réussisse et donc s'il y a le moindre doute dans l'esprit de mes concitoyens, il faut le lever", s'est défendu le chef du gouvernement.
Jean Castex, interrogé par BFMTV ce mardi soir, a d'ores et déjà fait part de son optimisme. Le Premier ministre a dit attendre un avis "positif" de la part de l'EMA et que ainsi, la vaccination avec AstraZeneca pourrait reprendre en France. Il s'est également expliqué sur la raison de cette suspension. "Si avec le président nous n'avions pas pris la décision de [suspendre l'AstraZeneca], qu'auraient dit nos concitoyens? (...) Je veux que la vaccination réussisse et donc s'il y a le moindre doute dans l'esprit de mes concitoyens, il faut le lever", s'est défendu le chef du gouvernement.
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