Trois palettes de bois, dix mètres de bâche, de la ficelle… En deux temps-trois mouvements, les conserves de légumes, les oignons, et les bouteilles d’eau retrouvent place dans ce qui doit devenir « l’épicerie afghane ». Dans la cahute voisine, les naans recommencent à cuire sur le feu de bois. Mercredi 1er avril, la communauté entreprend même la reconstruction de sa mosquée, une cabane bâchée. Après la parenthèse du « grand déménagement », la vie reprend chez les 1 900 migrants de Calais.
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