Un signal d’alarme
Que le symptôme soit physique – une douleur - ou psychique – comme l’anxiété, par exemple – notre mal de dos serait ainsi, pour Delphine Debronde, un messager précieux : « C’est un signal d’alarme qui nous signifie que là, nous avons dépassé nos limites ». Naissance d’un enfant, déménagement, perte d’un être cher ou promotion professionnelle… Comme la douleur se manifeste souvent à l’occasion de grands tournants de vie, il est tentant de la mettre directement sur le compte de ces bouleversements « qui ont du mal à passer ». Mais la source du malaise mérite souvent d’être recherchée un peu plus loin. « Le lien corps-esprit n’est pas toujours apparent, précise ainsi la thérapeute. La plupart du temps, d’ailleurs, le mal de dos apparaît après une longue symptomatologie qui évoluait à bas bruit. On commence à ressentir des tensions dans le bas du dos quand on est stressé, et on finit un matin par ne simplement plus pouvoir se lever de son lit. L’événement en lui-même se contente bien souvent de rendre le mal de dos plus lisible ».
Un autre langage
Pour la psychothérapeute, notre mal de dos serait donc, au-delà du signal, un autre niveau langage que nous aurions tout intérêt à décrypter. « C’est un langage corporel. Parfois lorsqu’on est pris dans nos émotions, dans nos difficultés à vivre, on n’est pas toujours capable d’analyser ce qui nous arrive et ce que l’on ressent. On se retrouve sous tensions, sans trop comprendre. C’est là, souvent, que le mal de dos peut apparaître. Car c’est parfois le seul moyen que l’on a trouvé inconsciemment pour exprimer une souffrance ou un mal de vivre, quel qu’il soit. »
Voilà pourquoi nous aurions intérêt, dès l’apparition du mal de dos, à prendre le temps d’écouter cette douleur. De se demander ce qui nous pèse, ce qui nous tend, ce qui a pu nous arriver dans un passé récent, pour tenter d’établir un lien avec la douleur. Accompagné(e) d’un thérapeute, nous pourrions ainsi explorer ce que notre dos a à nous apprendre sur nous-même. Des choses, bien souvent, que nous ignorons. Ou que nous ne sommes pas prêts à voir.
Que le symptôme soit physique – une douleur - ou psychique – comme l’anxiété, par exemple – notre mal de dos serait ainsi, pour Delphine Debronde, un messager précieux : « C’est un signal d’alarme qui nous signifie que là, nous avons dépassé nos limites ». Naissance d’un enfant, déménagement, perte d’un être cher ou promotion professionnelle… Comme la douleur se manifeste souvent à l’occasion de grands tournants de vie, il est tentant de la mettre directement sur le compte de ces bouleversements « qui ont du mal à passer ». Mais la source du malaise mérite souvent d’être recherchée un peu plus loin. « Le lien corps-esprit n’est pas toujours apparent, précise ainsi la thérapeute. La plupart du temps, d’ailleurs, le mal de dos apparaît après une longue symptomatologie qui évoluait à bas bruit. On commence à ressentir des tensions dans le bas du dos quand on est stressé, et on finit un matin par ne simplement plus pouvoir se lever de son lit. L’événement en lui-même se contente bien souvent de rendre le mal de dos plus lisible ».
Un autre langage
Pour la psychothérapeute, notre mal de dos serait donc, au-delà du signal, un autre niveau langage que nous aurions tout intérêt à décrypter. « C’est un langage corporel. Parfois lorsqu’on est pris dans nos émotions, dans nos difficultés à vivre, on n’est pas toujours capable d’analyser ce qui nous arrive et ce que l’on ressent. On se retrouve sous tensions, sans trop comprendre. C’est là, souvent, que le mal de dos peut apparaître. Car c’est parfois le seul moyen que l’on a trouvé inconsciemment pour exprimer une souffrance ou un mal de vivre, quel qu’il soit. »
Voilà pourquoi nous aurions intérêt, dès l’apparition du mal de dos, à prendre le temps d’écouter cette douleur. De se demander ce qui nous pèse, ce qui nous tend, ce qui a pu nous arriver dans un passé récent, pour tenter d’établir un lien avec la douleur. Accompagné(e) d’un thérapeute, nous pourrions ainsi explorer ce que notre dos a à nous apprendre sur nous-même. Des choses, bien souvent, que nous ignorons. Ou que nous ne sommes pas prêts à voir.
En savoir plus ....