Un dépôt sauvage qui aurait pu passer totalement inaperçu sans la présence d’un témoin qui a filmé la scène et prévenu ainsi les autorités.
Interrogé par nos confrères du Parisien, l’homme a expliqué en détail ce qu’il a vu.
« Je sortais des jardins familiaux quand j’ai vu que le camion commençait à déverser ses déchets dans l’eau. Au départ, j’ai hurlé pour lui dire d’arrêter mais personne n’a réagi », a-t-il ainsi expliqué.
« Je voulais faire remonter l’information mais aussi aider à identifier les gens qui ont fait cela. C’est un endroit où l’on voit beaucoup d’ordures mais c’est la première fois que je surprends quelqu’un en train de s’en débarrasser dans l’Oise. Mais c’est certain que ce n’est pas le premier à faire ce genre de choses. », a-t-il poursuivi.
Aussitôt informé, Jean-Claude Villemain s’est rendu sur les lieux avec la police pour y trouver des indices.
« Nous avons pu prélever des étiquettes avec le nom du fabricant, les numéros des lots et des articles. Et la cerise sur le gâteau, c’est qu’il y a une caméra de vidéosurveillance qui nous a permis de relever la plaque d’immatriculation », a expliqué l’élu toujours dans les colonnes du Parisien.
Et l’intéressé d’ajouter qu’il essaierait « d’aller jusqu’au bout » de sa démarche, afin de mettre fin à ces pratiques honteuses perpétrées par des personnes sans scrupules « qui pensent que c’est une zone de non-droit ».
Interrogé par nos confrères du Parisien, l’homme a expliqué en détail ce qu’il a vu.
« Je sortais des jardins familiaux quand j’ai vu que le camion commençait à déverser ses déchets dans l’eau. Au départ, j’ai hurlé pour lui dire d’arrêter mais personne n’a réagi », a-t-il ainsi expliqué.
« Je voulais faire remonter l’information mais aussi aider à identifier les gens qui ont fait cela. C’est un endroit où l’on voit beaucoup d’ordures mais c’est la première fois que je surprends quelqu’un en train de s’en débarrasser dans l’Oise. Mais c’est certain que ce n’est pas le premier à faire ce genre de choses. », a-t-il poursuivi.
Aussitôt informé, Jean-Claude Villemain s’est rendu sur les lieux avec la police pour y trouver des indices.
« Nous avons pu prélever des étiquettes avec le nom du fabricant, les numéros des lots et des articles. Et la cerise sur le gâteau, c’est qu’il y a une caméra de vidéosurveillance qui nous a permis de relever la plaque d’immatriculation », a expliqué l’élu toujours dans les colonnes du Parisien.
Et l’intéressé d’ajouter qu’il essaierait « d’aller jusqu’au bout » de sa démarche, afin de mettre fin à ces pratiques honteuses perpétrées par des personnes sans scrupules « qui pensent que c’est une zone de non-droit ».
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