Vladimir Poutine a prévenu, lors de son discours annuel, que la Russie répondrait à l’Occident s’il venait à « franchir une ligne rouge ».
« J’espère que personne n’aura l’idée de franchir une ligne rouge avec la Russie. » Vladimir Poutine n’est pas passé par quatre chemins, mercredi, lors de son grand discours annuel. En ligne de mire ? L’Occident, avec l’Union européenne et les Etats-Unis qui depuis plusieurs semaines dénoncent le déploiement militaire russe aux frontières de l’Ukraine et la détention de l’opposant Alexeï Navalny. « Si quelqu’un prend nos bonnes intentions pour une faiblesse […] qu’ils sachent que la réponse russe sera asymétrique et dure », a dit le président russe.
La Russie, du fait du conflit en Ukraine, de la répression de l’opposition, d’accusations de cyberattaques, d’espionnage et d’ingérences électorales a été la cible de multiples sanctions occidentales, entraînant à chaque fois une riposte russe. Selon Vladimir Poutine, s’en prendre à la Russie « pour tout et n’importe quoi est devenu une sorte de sport ».
Le seul dossier international précis que Vladimir Poutine a abordé, lors de son discours, est celui d’une « tentative d’organiser un coup d’État et l’assassinat du président du Bélarus », mis au jour le week-end dernier selon les services de sécurité des deux pays. Le président russe a dénoncé le silence occidental dans cette affaire, à la veille d’une rencontre à Moscou avec son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko, honni en Occident du fait de la répression brutale d’un mouvement de contestation depuis août 2020.
« J’espère que personne n’aura l’idée de franchir une ligne rouge avec la Russie. » Vladimir Poutine n’est pas passé par quatre chemins, mercredi, lors de son grand discours annuel. En ligne de mire ? L’Occident, avec l’Union européenne et les Etats-Unis qui depuis plusieurs semaines dénoncent le déploiement militaire russe aux frontières de l’Ukraine et la détention de l’opposant Alexeï Navalny. « Si quelqu’un prend nos bonnes intentions pour une faiblesse […] qu’ils sachent que la réponse russe sera asymétrique et dure », a dit le président russe.
La Russie, du fait du conflit en Ukraine, de la répression de l’opposition, d’accusations de cyberattaques, d’espionnage et d’ingérences électorales a été la cible de multiples sanctions occidentales, entraînant à chaque fois une riposte russe. Selon Vladimir Poutine, s’en prendre à la Russie « pour tout et n’importe quoi est devenu une sorte de sport ».
Le seul dossier international précis que Vladimir Poutine a abordé, lors de son discours, est celui d’une « tentative d’organiser un coup d’État et l’assassinat du président du Bélarus », mis au jour le week-end dernier selon les services de sécurité des deux pays. Le président russe a dénoncé le silence occidental dans cette affaire, à la veille d’une rencontre à Moscou avec son homologue biélorusse Alexandre Loukachenko, honni en Occident du fait de la répression brutale d’un mouvement de contestation depuis août 2020.
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