Cela ne doit pas être simple de vivre dans la peau d’un commissaire de la BRB (brigade de répression du banditisme) de la direction régionale de la police judiciaire (DRPJ) de Paris. À peine une bande de cambrioleurs spécialisée dans le vol par effraction chez les joueurs parisiens est-elle envoyée au trou, qu’il faut s’en coltiner une autre dans l’heure. Ainsi, si la bande dite du « Chat », ancrée dans le quartier de la Goutte d’Or, vient d’être renvoyée devant le tribunal judiciaire deux ans après avoir dévalisé les domiciles de Thiago Silva et Eric Choupo-Moting, au moins une autre équipe d’Arsène Lupin semble avoir pris le relais.
Pourtant, la bande du « Chat » ne sévit plus
Angel Di Maria est en effet le troisième joueur parisien vivant du côté de Neuilly à se faire visiter un soir de match depuis le mois de janvier, après Mauro Icardi et Sergio Rico. Concernant Marquinhos, qui ne vit pas au même endroit, l’enquête, menée par la PJ de Versailles semble accréditer selon L’Equipe la thèse d’une erreur de domicile, le joueur vivant juste à côté de la maison cambriolée dimanche soir, en présence de son père et de ses sœurs.
Si l’estimation du préjudice matériel peut varier – selon les informations de 20 Minutes, les chiffres « un peu extravagants » avancés dans le cadre du cambriolage de Di Maria (500.000 euros) doivent encore être confirmés – l’impact psychologique sur les joueurs concernés et leurs collègues de vestiaire ne doit pas être négligé. Le PSG a d’ailleurs sorti les grands moyens sans attendre, en annonçant à ses joueurs prendre à sa charge une « surveillance humaine » pour tout l’effectif dans les semaines à venir. Cadeau de la maison, comme après les attentats de 2015, quand certains cadres étrangers (à l’exception de Zlatan) s’étaient inquiétés de leur sécurité et avaient demandé un garde du corps/agent de surveillance individuel dans la minute.
Pourtant, la bande du « Chat » ne sévit plus
Angel Di Maria est en effet le troisième joueur parisien vivant du côté de Neuilly à se faire visiter un soir de match depuis le mois de janvier, après Mauro Icardi et Sergio Rico. Concernant Marquinhos, qui ne vit pas au même endroit, l’enquête, menée par la PJ de Versailles semble accréditer selon L’Equipe la thèse d’une erreur de domicile, le joueur vivant juste à côté de la maison cambriolée dimanche soir, en présence de son père et de ses sœurs.
Si l’estimation du préjudice matériel peut varier – selon les informations de 20 Minutes, les chiffres « un peu extravagants » avancés dans le cadre du cambriolage de Di Maria (500.000 euros) doivent encore être confirmés – l’impact psychologique sur les joueurs concernés et leurs collègues de vestiaire ne doit pas être négligé. Le PSG a d’ailleurs sorti les grands moyens sans attendre, en annonçant à ses joueurs prendre à sa charge une « surveillance humaine » pour tout l’effectif dans les semaines à venir. Cadeau de la maison, comme après les attentats de 2015, quand certains cadres étrangers (à l’exception de Zlatan) s’étaient inquiétés de leur sécurité et avaient demandé un garde du corps/agent de surveillance individuel dans la minute.
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