Elia a écrit:Psycholive a écrit:je ne pense pas que l'on puisse vivre de manière tout à fait épanouie sans avoir au moins cherché à comprendre pourquoi nos parents agissaient ainsi. Sinon on peut rester dans un malaise existentiel qui ne trouve jamais de raison.
tout à fait c'est d'ailleurs rester un enfant - un ado qui rejette toujours sur les parents les difficultés rencontrées - pour ne pas se retrousser les manches et dire :
malgré ce handicap de départ je vais quand même avancer et rectifier
et faire que ma vie se libérera de ça car je suis adulte et je peux agir
D'une façon générale, c'est une habitude très commune de toujours reporter la faute sur quelqu'un d'autre, personne ou structure. Ca soulage... mais ce n'est pas un gage de maturité, effectivement.
C'est quand on prend sa part de responsabilité, sans non plus s'attribuer celle qu'on n'a pas ni se culpabiliser, qu'on avance.
Et effectivement, même si le fait initial n'est pas de notre faute, on a toujours la responsabilité de l'impact que cela a sur nous.